"Artisan pilote", "Contes à tire d'ailes", "Cargo de nuit"

[Orion]

Surpris que seulement un seul livre de Jan n'ait été cité, en ayant lu deux il y a quelques années et me souvenant les avoir aimé mais sans me rappeler pourquoi, je les ai donc relu et... je n'ai pas été déçu. Vous me direz qui si cela avait été le cas je n'aurais pas posté cet article. C'est vrai ! - mais pour ceux (et celles) qui ne les auraient pas encore lu (ou relu), je ne peux que mettre ce lien et vous inviter à lire tout le mal que l'on pense de Jan. Et pour "Contes à tire d'ailes" c'est ici.

Pour ma part je suis heureux de savoir que j'en ai encore deux à lire: "Le bal des breloques" et "cargo de nuit"

[toms]

Je les ai tous lu (bien sûr) et j'ai adoré.

[alphalima]

Tu vas te régaler du "bal des breloques"....  

J'en avais fait les éloges dans cette rubrique même (même titre)....

[A22Fox]

Je les ai tous lu (bien sûr) et j'ai adoré.

+1 avec une mention particulière pour "les Lutins de la CAT III"


Guy

[denis r-e]

Surpris que seulement un seul livre de Jan n'ait été cité, .............

???????? Il faudrait suivre Orion !

En effet : viewtopic.php?f=24&t=8584

[pfiquet]

Oh les p'tits gars, calmez-vous et allez voir son site

http://jantutaj.pfiquet.be

[Jan TUTAJ]

Eh bé boudu ! Si avec ça, ma boulangère ne me reconnait pas demain matin ...!

[Orion]

Surpris que seulement un seul livre de Jan n'ait été cité, .............

???????? Il faudrait suivre Orion !

En effet : viewtopic.php?f=24&t=8584

Je parlais de ce nouveau topic bien sûr, où il me semble que tu n'as pas encore été cité. En attendant...

[aviateur bourbonnais]

Eh bé boudu ! Si avec ça, ma boulangère ne me reconnait pas demain matin ...!

Et sauvé des eaux, en plus !

[veb'air]

Et sauvé des eaux, en plus !

des zoos , plutôt, disait Renoir  

[A METHYST]

Bonjour,
Je viens d’entamer ‘’Le plus beau bureau du monde’’ de Jacques Darolles, après avoir ‘’dévoré’’, en 2 aprèm, ‘’Artisan pilote’’ et ‘’Cargo de nuit’’ (que j’ai adorés) de Jan Tutaj (aimerais bien être sa boulangère mouâ = au moins je pourrais lui poser toutes les questions qui vont bien de visu !!!).

Et donc me sont venus les questions suivantes (pour les gros autobus/camions) :
1.     Dans les pays chauds, avec charge importante, tarmac ‘’brûlant’’ (70°C) et décollage à 300km/h, comment être sûr, juste après le décollage et avant de rentrer le train de pneus, que ceux-ci ne sont pas en train de se consumer ??????? Ils ne sont quand même pas auto-extinguibles !?! Ou alors quels types de capteurs arrivent à détecter la surchauffe/le feu aux pneus et où précisément sont-ils placés ? En quoi sont faits ces pneus pour résister à pareilles températures ? Et que se passe-t-il à l’atterrissage s’il en est qui ont ‘’crevés’’ au décollage ? Est-ce que le pilote le détecte et peut prévenir ou bien il ‘’compose’’ à l’atterrissage ?

2.     Le poids du carburant et le poids du fret sont calculés de sorte à arriver à destination avec une légère marge de sécurité permettant une attente ou un dégagement sur aéroport proche. Que se passe-t-il si plusieurs avions arrivent en limite de carburant et que l’aéroport est ‘’saturé’’ par des arrivages/départs rapprochés ? Qui a priorité s’ils sont plusieurs en limite ? Et, dans ces temps de rigueur et de restrictions, est-ce que les compagnies ne vont pas être enclines à charger plus de fret = moins de carburant, pour rentabiliser ? Qui gère les problèmes en fin de vol : les pilotes ? les contrôleurs aériens ? les deux ?

Ne m’en veuillez pas pour ces questions de candide : l’aéronautique n’est pas du tout mon domaine, mais j’adore vous lire toutes et tous sur ce forum où j’apprends chaque jour des choses nouvelles (tant tactiques que techniques, qu’humaines ...).

Merci d’avance pour vos réponses
Amicalement
anne

[toms]

Bonjour,
Je viens d’entamer ‘’Le plus beau bureau du monde’’ de Jacques Darolles, après avoir ‘’dévoré’’, en 2 aprèm, ‘’Artisan pilote’’ et ‘’Cargo de nuit’’ (que j’ai adorés) de Jan Tutaj (aimerais bien être sa boulangère mouâ = au moins je pourrais lui poser toutes les questions qui vont bien de visu !!!).

Bonjour Anne, que de saines lectures!

Et donc me sont venus les questions suivantes (pour les gros autobus/camions) :
1.     Dans les pays chauds, avec charge importante, tarmac ‘’brûlant’’ (70°C) et décollage à 300km/h, comment être sûr, juste après le décollage et avant de rentrer le train de pneus, que ceux-ci ne sont pas en train de se consumer ??????? Ils ne sont quand même pas auto-extinguibles !?! Ou alors quels types de capteurs arrivent à détecter la surchauffe/le feu aux pneus et où précisément sont-ils placés ? En quoi sont faits ces pneus pour résister à pareilles températures ? Et que se passe-t-il à l’atterrissage s’il en est qui ont ‘’crevés’’ au décollage ? Est-ce que le pilote le détecte et peut prévenir ou bien il ‘’compose’’ à l’atterrissage ?

Les trains souffrent moins au décollage qu'à l'atterrissage, le freinage produit en effet une chaleur importante. Si toutefois un feu se déclarait sur un train au décollage, la siuation serait différente selon les avions. Certains sont équipés de système de détection et d'extinction. Dans ce cas, quand l'alarme se déclenche, l'équipage applique une procédure, et le commandant de bord prend une décision (qui sera de revenir se poser dans le cas présent). En l'absence de système de détection, et bien ça dépend. Le feu a de forte chances d'être détecté par la vigie qui préviendra l'équipage, qui appliquera une procédure...

2.     Le poids du carburant et le poids du fret sont calculés de sorte à arriver à destination avec une légère marge de sécurité permettant une attente ou un dégagement sur aéroport proche. Que se passe-t-il si plusieurs avions arrivent en limite de carburant et que l’aéroport est ‘’saturé’’ par des arrivages/départs rapprochés ?

Une fois de plus, le commandant de bord devra prendre une décision. La plupart du temps, il sera aidé par le contrôle aérien et les opérations de sa compagnie qui auront anticipé un tel blocage et dérouté les avions avant que ça ne devienne ingérable.

Qui a priorité s’ils sont plusieurs en limite ?

Les priorités sont définies. Les avions qui ont déclaré des roblèmes technique passent en premier, ensuite ceux qui déclarent des quantités de carburant approchant certains seuils.

Et, dans ces temps de rigueur et de restrictions, est-ce que les compagnies ne vont pas être enclines à charger plus de fret = moins de carburant, pour rentabiliser ? Qui gère les problèmes en fin de vol : les pilotes ? les contrôleurs aériens ? les deux ?

C'est déjà le cas, et bien souvent les avions volent en emportant les quantités minimales réglementaires et rien de plus, ce qui n'est pas un problème, mais rend parfois la gestion intéressante. Les éqipages sont formés pour travailler de cette manière.  

Ne m’en veuillez pas pour ces questions de candide : l’aéronautique n’est pas du tout mon domaine, mais j’adore vous lire toutes et tous sur ce forum où j’apprends chaque jour des choses nouvelles (tant tactiques que techniques, qu’humaines ...).

Merci d’avance pour vos réponses
Amicalement
anne

Il n'y a pas demauvaise question, seulement de mauvaises réponses!

[A METHYST]

Bonjour Toms et merci d’avoir pris le temps de m’éclairer : c’est vraiment super sympa (surtout quand c’est le WE et qu’il fait cavok ...).
Merci encore et bonne semaine
Amicalement
anne