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Cedric-Pariggi a écrit:Bonsoir,
Comment se fait-il que quand on prend l'avion sur une ligne aérienne, donc à cabine pressurisée, il y ait une forte différence de pression dans les phases de montée ou descente? La différence de pression doit être d'au moins 1 bar, car on le ressent au niveau des tympans comme quand on descend de 10m sous l'eau, et il faut faire la même manoeuvre qu'en plongée (manœuvre de Valsalva) pour égaliser la pression.
N'est-il pas possible de maintenir une pressurisation cabine stable tout au long du vol, une fois la porte fermée? Les différences de pression atmosphérique entre le lieu de départ et le lieu d'arrivée sont relativement négligeables comparées aux différences de pression ressenties dans les tympans lors des phases de montée et descente.
jc dusse a écrit:pour limiter les efforts sur la structure
Cedric-Pariggi a écrit:Merci pour cette réponse rapide et précise. Je n'avais pas du tout pensé à la structure comme facteur limitant.
jc dusse a écrit:Cedric-Pariggi a écrit:Merci pour cette réponse rapide et précise. Je n'avais pas du tout pensé à la structure comme facteur limitant.
On pourrait probablement faire suffisamment solide pour garder une pression de l'ordre du niveau de la mer, mais l'avion serait alors plus lourd et ni les écolos (plus de consommation) ni les clients (moins de passagers, donc billets plus chers) ne seraient contents...
Probable que les progrès de matériaux (utilisation de carbone dans le fuselage) soient à l'origine des progrès fait sur le 350 notamment pour lequel l'altitude cabine est environ à 6000ft.
F-CLS a écrit:Pour poursuivre sur le thème des bonbons, j’ai vu un jour l’équipage de cabine confectionner un dispositif spécial pour « enfant ayant mal aux oreilles » : 2 pots de yaourt (vides) reliés par une ficelle.
Ils l’ont placés sur les oreilles d’un petit qui avait mal, et là miracle. Intrigué par le dispositif, il a oublié ses douleurs ! Un petit côté « magie du père-Noël » bien sympa.
Claude
Duckman a écrit:Reste à optimiser le taux d'humidité de l'air en cabine qui est monstrueusement bas dans les avions de l'ancienne génération.
Cedric-Pariggi a écrit:Bonsoir,
Comment se fait-il que quand on prend l'avion sur une ligne aérienne, donc à cabine pressurisée, il y ait une forte différence de pression dans les phases de montée ou descente? La différence de pression doit être d'au moins 1 bar, car on le ressent au niveau des tympans comme quand on descend de 10m sous l'eau, et il faut faire la même manoeuvre qu'en plongée (manœuvre de Valsalva) pour égaliser la pression.
N'est-il pas possible de maintenir une pressurisation cabine stable tout au long du vol, une fois la porte fermée? Les différences de pression atmosphérique entre le lieu de départ et le lieu d'arrivée sont relativement négligeables comparées aux différences de pression ressenties dans les tympans lors des phases de montée et descente.
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