Matthias a écrit:gma a écrit:Gma n'a pas de langue à lui...
gma écrit quelle référence d'altitude utilise un gps qui est connecté avec des fils et des prises à un boîtier alticodeur.
La façon dont vous utilisez cette information pour le guidage vertical c'est autre chose, et le cas du plan d'approche vous demandant de faire en QNH local c'est la procédure et non la façon dont le gps reçoit les données d'altitude.
Et normalement, vous en déduisez que l'information de l'alticodeur est convertie, si vous avez de quoi faire entrer dans le système une donnée QNH... Ce qui n'altère en rien la vérité du fonctionnement de base.
A défaut, vous savez maintenant pourquoi on utilise 2 altis...
Pas trouvé de traducteur sur Google alors je tente un truc :
1) Quand tu branches ton système de navigation (GNS430 par exemple) il y a un emplacement pour ta capsule baro ? c'est bien ça ?
2) L'altitude qui s'affiche sur ton écran c'est bien l'altitude barométrique, comme sur un altimètre ? je suis toujours ?
3) L'altitude déterminée par GNSS (qui est le terme générique du principe de positionnement pas satellite, le GPS n'étant qu'un système parmi d'autres) est donc cachée des yeux de l'opérateur sur l"affichage ?
4) En revanche, cette altitude calculée (qui est en fait une hauteur au géoïde et non une altitude ramenée au niveau de la mer) reste une information numérique qui est exploitée dans les approches de précision mais n'est pas visible par l'opérateur ? Je traduit bien ?
1) Oui, il y a un faisceau dédié pour une connection avec alticodeur.
2) Non, pas comme sur un altimètre (qui lui a une échelle Kolsmann), mais comme sur un afficheur digital classique transposant à 1013,25, soit la valeur calibrée de la capsule dans le boîtier d'alticodeur.
3) D'abord ce n'est pas une altitude, mais une hauteur par rapport à une ref mathématique (wgs 84), oui elle est cachée et modulée selon l'amplification wass.
4) Uniquement pour les approches 3D, ce qui fait, comme pour le latéral, que le positionnement est précis quand le signal est bon et que l'itération est permanente tandis que le guidage, lui, est très incertain.