Le SAV vu par Sylvain-des-bâches
Posté: Vendredi 30 Novembre 2007 19:56
On sonne à ma porte ce midi. J’ouvre, impatient. Héhé, c’est le facteur
- 'jour M’ssieur, un colis pour vo…
- J’vous attendais avant de sortir.
- ‘risquait rien, votre colis, me répond-il en montrant du doigt une grosse étiquette jaune fluo avec, écrit en caractères gras et gros :
<<BAGAGE SECURISE – AJACCIO>>.
Vous allez pouvoir l’ouvrir ? reprend-il dans un sourire acide.
- Ouais. J’ai le code.
Retour dans mon salon où, fébrile, je déchire papier et scotch pour vite découvrir le contenu. Et là je suis heureux. « IL » a tenu sa promesse faite devant un apéro à Blois.
Je fonce au hangar et là, je retire le vieux drap qui protégeait la verrière et je l’enveloppe de sa nouvelle protection :
<o:p></o:p>
A babord, notre Sylvain a reproduit le nom de mon Zéphyr :
Et à tribord,cerise sur le gateau GPS sur le tableau, un super clin d’œil de Sylvain :
Ma précédente bâche n’a pas trop supporté l’extérieur. Alors Sylvain m’en a offert une neuve, dans un nouveau matériau. Et il ne veut pas entendre parler d’€uros…
J’ai tenté de lui proposer un quelque chose mais quand j’ai vu le regard du corse qu’il est s’assombrir, les sourcils se froncer comme seuls savent les froncer les corses en colère, j’ai vite lâché un…
Arrête Sylvain ! je décôôônnaiss !
- 'jour M’ssieur, un colis pour vo…
- J’vous attendais avant de sortir.
- ‘risquait rien, votre colis, me répond-il en montrant du doigt une grosse étiquette jaune fluo avec, écrit en caractères gras et gros :
<<BAGAGE SECURISE – AJACCIO>>.
Vous allez pouvoir l’ouvrir ? reprend-il dans un sourire acide.
- Ouais. J’ai le code.
Retour dans mon salon où, fébrile, je déchire papier et scotch pour vite découvrir le contenu. Et là je suis heureux. « IL » a tenu sa promesse faite devant un apéro à Blois.
Je fonce au hangar et là, je retire le vieux drap qui protégeait la verrière et je l’enveloppe de sa nouvelle protection :
<o:p></o:p>
A babord, notre Sylvain a reproduit le nom de mon Zéphyr :
Et à tribord,
Ma précédente bâche n’a pas trop supporté l’extérieur. Alors Sylvain m’en a offert une neuve, dans un nouveau matériau. Et il ne veut pas entendre parler d’€uros…
J’ai tenté de lui proposer un quelque chose mais quand j’ai vu le regard du corse qu’il est s’assombrir, les sourcils se froncer comme seuls savent les froncer les corses en colère, j’ai vite lâché un…
Arrête Sylvain ! je décôôônnaiss !