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cedricscha a écrit:J'habite à proximité de l'aéroport de Genève, mais j'ai consulté ces tarifs .....
Est-ce justifier? Le nombre d'heure prix en compte est le même partout, soit le minimum, Vous pourrez peut-être me répondre si cela vaut quand même le coup de se diriger sur cette plateforme.
Lucas a écrit:…
Mais question importante à quel point comptes tu t'investir dans ton club? Je ne parle pas là de ta formation et du temps que tu te dédies à toi même, mais bel et bien du temps que tu es pret à mettre pour que ton club vive? Il s'agit ici des menus travaux a réaliser sur la plateforme, la participation "aux bouffes", le coup de main imprévu, la participation à l'AG, le simple fait de rester après sa leçon pour discuter et participer à la création de l'atmosphere club.... Cette question n'est bien entendu pas anodine. De sa réponse dépendra en grande partie le club que tu choisiras…
Aviathor a écrit:cedricscha a écrit:J'habite à proximité de l'aéroport de Genève, mais j'ai consulté ces tarifs .....
Est-ce justifier? Le nombre d'heure prix en compte est le même partout, soit le minimum, Vous pourrez peut-être me répondre si cela vaut quand même le coup de se diriger sur cette plateforme.
Je pense que ce doit être justifié, car j'ai une fois rencontré des elèves-pilotes de l'aéroclub de Genève qui m'avaient expliqué que la formation Suisse était la meilleure au monde, et que les pilotes de Swissair étaient les meilleurs au monde. Ensuite ils m'ont expliqué que mon IR FAA était une qualification qui ne valait rien par rapport à l'IR Suisse...
Si on veut de la qualité, il faut bien payer...
aviateur bourbonnais a écrit:Aviathor a écrit:Je pense que ce doit être justifié, car j'ai une fois rencontré des elèves-pilotes de l'aéroclub de Genève qui m'avaient expliqué que la formation Suisse était la meilleure au monde, et que les pilotes de Swissair étaient les meilleurs au monde. Ensuite ils m'ont expliqué que mon IR FAA était une qualification qui ne valait rien par rapport à l'IR Suisse...
Si on veut de la qualité, il faut bien payer...
Quand je demande aux Suisses, sur quelque sujet que ce soit:
c'est mieux en Suisse
ca ne vaut rien ailleurs
...
Mais quand il faut acheter une voiture, on prend une allemande (l'hiver) + une italienne (l'été)
Quand on part en vacances, on va en France et/ou en Italie....
Quand on veut faire "les commi" de la semaine, on préfère Leclerc de Pontarlier à la Migros du quartier.Et on planque la viande pour éviter les gabelous helvètes.
aviateur bourbonnais a écrit:Aviathor a écrit:
Je pense que ce doit être justifié, car j'ai une fois rencontré des elèves-pilotes de l'aéroclub de Genève qui m'avaient expliqué que la formation Suisse était la meilleure au monde, et que les pilotes de Swissair étaient les meilleurs au monde. Ensuite ils m'ont expliqué que mon IR FAA était une qualification qui ne valait rien par rapport à l'IR Suisse...
Si on veut de la qualité, il faut bien payer...
Quand je demande aux Suisses, sur quelque sujet que ce soit:
c'est mieux en Suisse
ca ne vaut rien ailleurs
...
les Allemands sont des arrogants, les italiens sont des crasseux, les français sont des crasseux arrogants, ...
...
Précisons que j'ai vécu en Suisse, que je les aime beaucoup, que j'y retourne souvent, que mes 2 filles y vivent, mais qu'ils ont, comme tout le monde, leurs petits défauts, un mépris des nations avoisinantes et une xénophobie qui forceront l'admiration.
Et sur laquelle je ne me lasse pas de les taquiner.
...
Et ce sera moins compliqué et couteux que de voler en Suisse; où d'ailleurs on te demandera de faire 5 (?) heures de vol montagne - ce qui n'est pas idiot dans le pays.
Et ou on te fera faire ta formation sur un 180CV avec glass cockpit, parceque le mieux n'est jamais assez bien.
Lucas a écrit:Bonjour Cedric,
je crois qu'on peut dire que je connais pas mal la région alors voilà quelques éléments de réponse.
Evacuons quelques points préalables:
-Déjà quel est ton but? Juste le PPL, CPL, voltige, montagne, IR?
-Si tu veux devenir pro est ce pour bosser en Suisse? Le cas échéant Genève ou Lausanne (ACB ou Air Espace) peuvent être de bonnes options.
-Si tu veux juste un PPL puis évoluer vers voltige et/ou montagne et/ou IR, alors vas à Annemasse car ils ont tout ce qu'il faut comme flotte et FI pour ca.
-Est ce que tu veux un PPL ou dans le fond l'ULM te conviendrait aussi? Le cas échéant Bellegarde et Annecy proposent de l'ULM.
-Je rejoins Léon dans l'idée que tu devrais aller te renseigner sur place et voir un peu les intallations et l'atmosphere de chaque club. Prends peut être RDV avant de passer car il n'y a pas toujours du monde dans les clubs.
-Je le rejoins aussi sur les points "formation" et "disponibilité".
-Concernant les tarifs de Genève c'est une éternelle discussion sur les prix en CH vs FR. De manière générales, n'oublies jamais que les couts sont toujours plus élevés en Helvetie (salaires, loyers...) et que les utilisateurs de telle ou telle choses en assuement les couts (lire les subventions sont rares). Plus spécifiquement l'aéroclub de Genève est situé sur une plateforme qui ne lui fait pas de cadeaux tarifaire et que l'instructeur avion coute 115chf/hdv en plus car le bénévolat tel que pratiqué dans nos associations loi 1901 ca n'exite pas ici. N'oublie pas que les redevances d'atterrissage sont en sus des hdv et du FI.
Mais question importante à quel point comptes tu t'investir dans ton club? Je ne parle pas là de ta formation et du temps que tu te dédies à toi même, mais bel et bien du temps que tu es pret à mettre pour que ton club vive? Il s'agit ici des menus travaux a réaliser sur la plateforme, la participation "aux bouffes", le coup de main imprévu, la participation à l'AG, le simple fait de rester après sa leçon pour discuter et participer à la création de l'atmosphere club.... Cette question n'est bien entendu pas anodine. De ta réponse dépendra en grande partie le club que tu choisiras, mais aussi du club qui saura t'apprécier à ta juste valeur.
A ta dispostion
Leon Robin a écrit:
La formation :
- Cursus et rigueur sont a priori semblables - sinon identiques - tous les organismes de formation (clubs et écoles commerciales) étant régis par les règles EASA dont la Suisse est aussi membre. Tous les organismes auxquels on s'adresse sont donc soit DTO (Organisme de formation déclaré) ou ATO (organisme de formation approuvé) et font l'objet de contrôles réguliers par leur organisme de tutelle (OSAC - délégataire de la DGAC - en France, OFAC en Suisse) .
En France, certains clubs importants sont ATO, les autres sont DTO. La différence est plus administrative que technique : cursus identique mais formalisme plus contraignant pour les ATO.
- Les instructeurs sont formés et qualifiés sur les mêmes bases et selon les mêmes critères EASA. La différence de ce côté est le bénévolat généralisé dans les clubs français, les plus importants employant généralement un ou plusieurs instructeurs salariés.
La disponibilité (instructeuurs et avions) :
- la flotte du club est la clé de la disponibilité du matériel : nombre d'avions, type et nombre d'avions dédiés à la formation, organisation du club sont à considérer
- le nombre d'instructeurs et leur disponibilité selon les jours, ainsi que la régularité de cette disponibilité) ont une influence sur la progression des élèves. La présence d'un instructeur salarié permet d'assurer une disponibilité tous les jours de la semaine, un nombre important d'instructeurs bénévoles permet de "lisser" la disponibilité globale. L'instructeur salarié est, par la force des choses, plus fréquent dans les clubs importants.
Les moyens annexes :
- Tous les organismes de formation (clubs français et suisses ainsi que les écoles commerciales) doivent mettre divers moyens (informatiques et audio-visuels, espaces dédiés, ...) à la dispositions des élèves-pilotes en cours de formation. Dans les petits clubs, l'inventivité et la participation de certains membres peut suppléer à de grands moyens. La vitrine ne fait pas tout.
L'ambiance club :
- Le "bon" club, c'est celui où on se sent bien, où on aime rester un moment en dehors des leçons de pilotage pour discuter avec d'autres passionnés ... ou dommer un coup de main. Pas besoin d'être déjà pilote pour participer à la vie de son club en lui apportant une partie de ses connaissances ou de son savoir-faire dans des domaines pas forcément aéronautiques.
Il ne faut pas oublier que la formation PPL va durer plusieurs mois au minimum, plus longtemps pour certains. Ensuite, on continue à venir au club pour voler de ses propres ailessur les avions du club.
C'est un loisir, cela doit rimer avec plaiisir. Pour cela, l'ambiance du club est un paramètre non quantifiable mais important dans le choix final.
Bons vols dans ton futur club.
Leon Robin a écrit:
La formation :
- Cursus et rigueur sont a priori semblables - sinon identiques - tous les organismes de formation (clubs et écoles commerciales) étant régis par les règles EASA dont la Suisse est aussi membre. Tous les organismes auxquels on s'adresse sont donc soit DTO (Organisme de formation déclaré) ou ATO (organisme de formation approuvé) et font l'objet de contrôles réguliers par leur organisme de tutelle (OSAC - délégataire de la DGAC - en France, OFAC en Suisse) .
En France, certains clubs importants sont ATO, les autres sont DTO. La différence est plus administrative que technique : cursus identique mais formalisme plus contraignant pour les ATO.
- Les instructeurs sont formés et qualifiés sur les mêmes bases et selon les mêmes critères EASA. La différence de ce côté est le bénévolat généralisé dans les clubs français, les plus importants employant généralement un ou plusieurs instructeurs salariés.
.
Leon Robin a écrit:
La disponibilité (instructeuurs et avions) :
- la flotte du club est la clé de la disponibilité du matériel : nombre d'avions, type et nombre d'avions dédiés à la formation, organisation du club sont à considérer
- le nombre d'instructeurs et leur disponibilité selon les jours, ainsi que la régularité de cette disponibilité) ont une influence sur la progression des élèves. La présence d'un instructeur salarié permet d'assurer une disponibilité tous les jours de la semaine, un nombre important d'instructeurs bénévoles permet de "lisser" la disponibilité globale. L'instructeur salarié est, par la force des choses, plus fréquent dans les clubs importants.
Leon Robin a écrit:Les moyens annexes :
- Tous les organismes de formation (clubs français et suisses ainsi que les écoles commerciales) doivent mettre divers moyens (informatiques et audio-visuels, espaces dédiés, ...) à la dispositions des élèves-pilotes en cours de formation. Dans les petits clubs, l'inventivité et la participation de certains membres peut suppléer à de grands moyens. La vitrine ne fait pas tout.
Leon Robin a écrit:L'ambiance club :
- Le "bon" club, c'est celui où on se sent bien, où on aime rester un moment en dehors des leçons de pilotage pour discuter avec d'autres passionnés ... ou dommer un coup de main. Pas besoin d'être déjà pilote pour participer à la vie de son club en lui apportant une partie de ses connaissances ou de son savoir-faire dans des domaines pas forcément aéronautiques.
Il ne faut pas oublier que la formation PPL va durer plusieurs mois au minimum, plus longtemps pour certains. Ensuite, on continue à venir au club pour voler de ses propres ailessur les avions du club.
C'est un loisir, cela doit rimer avec plaiisir. Pour cela, l'ambiance du club est un paramètre non quantifiable mais important dans le choix final.
Bons vols dans ton futur club.
aviateur bourbonnais a écrit:
c'est mieux en Suisse
ca ne vaut rien ailleurs
Philippe PONS a écrit:Bon ben là je suis démasqué…
Allez, quand tu veux pour voir la région d’en haut cedricscha et tu en profiteras pour discuter avec les instructeurs et prendre les renseignements au secrétariat.
Philou a écrit:Lausanne La Blécherette:
https://www.lausanne-aeroclub.ch/
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