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Les Administrateurs
benjamone a écrit:Ceci dit, si c'est juste pour faire des tours de piste dans des conditions favorables, ça ne devrait quand même pas être un si grand défi que ça.
Si autant je comprends qu'un bon rafraîchissement s'impose si les zones sont un peu compliquées, j'ai beaucoup plus de mal à comprendre qu'on fasse tout ce foin pour simplement se remettre en vol après seulement deux mois d'interruption.
La règlementation nous garde qualifiés pour beaucoup plus longtemps que ça.
Aviathor a écrit:
Non seulement les "autorités compétentes" nous permettent d'exercer les privilèges de nos qualifications beaucoup plus longtemps que ça, mais en plus elles ont repoussé les dates de validité des qualifications jusqu'à décembre 2020!!
Il est donc tout à fait cohérent que les clubs refusent de repousser la date de validité du dernier contrôle club, ou relâcher les exigences d'expérience récente
E.T. a écrit:mais qualifier cela de "cohérence" ???, l'autorité de tutelle qui est garante de la sécurité des biens et des personnes reconnait que l'on peut dépasser les limites habituelles, ce n'est donc pas en cohérence avec elle que l'on maintient les butées club.
patrice lapierre a écrit:Lorsque je lis le texte nous concernant, page 18 de la stratégie nationale de déconfinement , je lis :
"Cette fiche aborde uniquement la pratique individuelle dans le respect des directives gouvernementales.
Pour la pratique des vols avec instructeur, ceux-ci devront se dérouler conformément aux principes etrecommandations diffusées par la Direction générale de l’aviation civile (DGAC)."
donc, dans la mesure ou il n'y a aucun principe ou aucune recommandation de la part de la DGAC les directives gouvernementales s'appliquent pour les vols avec instructeur....
non ?
http://sports.gouv.fr/IMG/pdf/sportsguidesportparsport_fiches.pdf
Aviathor a écrit:ambassadeur a écrit:Si c'est confirmé, les pilotes hors structures associatives (ou autres) vont être tentés de revoler sans remise à niveau.
Oh mon Dieu! C'est mon cas
benjamone a écrit:Ceci dit, si c'est juste pour faire des tours de piste dans des conditions favorables, ça ne devrait quand même pas être un si grand défi que ça.
Si autant je comprends qu'un bon rafraîchissement s'impose si les zones sont un peu compliquées, j'ai beaucoup plus de mal à comprendre qu'on fasse tout ce foin pour simplement se remettre en vol après seulement deux mois d'interruption.
La règlementation nous garde qualifiés pour beaucoup plus longtemps que ça.
E.T. a écrit:... l'autorité de tutelle qui est garante de la sécurité des biens et des personnes reconnait que l'on peut dépasser les limites habituelles...
gma a écrit:benjamone a écrit:Ceci dit, si c'est juste pour faire des tours de piste dans des conditions favorables, ça ne devrait quand même pas être un si grand défi que ça.
Si autant je comprends qu'un bon rafraîchissement s'impose si les zones sont un peu compliquées, j'ai beaucoup plus de mal à comprendre qu'on fasse tout ce foin pour simplement se remettre en vol après seulement deux mois d'interruption.
La règlementation nous garde qualifiés pour beaucoup plus longtemps que ça.
En matière de risque, vaut mieux un pilote novice qui part voler loin, longtemps et ne revenir que pour 1 seul complet plutôt qu'un chevronné qui s'adonne à une multitude de tours de piste.
PPG a écrit:J’ai l’impression qu’en aéronautique la vie se divise en deux catégories, ceux que la réglementation exalte et ceux qui la supportent.
J’ai imaginé un test : Un individu est soumis à la lecture du complément aux cartes si cela provoque chez lui une erection, même légère, on le classe comme appartenant à la première catégorie.
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