Survol maritime

[Philippe Warter]

D'après ce que j'en sais, Galileo ne sera complètement opérationnel qu'en 2020 (26 satellites).
En attendant, les récepteurs compatibles basculent automatiquement sur le GPS américain sans qu'on s'en rende compte, quand le maillage est déficient.
A la fois une sécurité (on conserve le signal) et un danger (on ne sait pas qu'on est retombé dans les griffes du grand Strump).

[Aviathor]

Aujourd'hui, on top, mais avec de bons moyens de navigation bien redondants. J'aurais dû avoir 10 kts de plus, mais je me trainais un peu en raison d'un peu de givre.

[PhM]

L’Avidyne m’est familier, mais celui-ci est monté sur quel avion ?

[teubreu]

C'est simplement parce que rien de particulier n'est requis. Je n'ai pas le souvenir que cela ait jamais été le cas, d'ailleurs. Le vol en VFR implique strictement parlant de la navigation à vue ou à l'estime. Donc pas de radionavigation requise.

Si, dans l'arrêté de 1991 (qui s'applique toujours aux avions non EASA) c'est très clair : un récepteur VOR ou un radiocompas automatique en fonction de la route prévue ou un GPS homologué en classe A, B ou C, si l'aéronef vole sans contact visuel du sol ou de l'eau

Pour la règlementation européenne, NCO.IDE.A.120 dit

Les avions exploités en conditions météorologiques à vue (VMC) de nuit ou dans des conditions où l’avion ne peut pas être maintenu sur la trajectoire de vol souhaitée sans référence à un ou plusieurs instruments supplémentaires sont, en plus du point a), équipés:

C'est clair que ce n'est pas clair, mais comme en on-top (prolongé en tous cas) on ne peut pas rester sur sa trajectoire sans instruments supplémentaires (on ne peut pas visualiser des points tournants au sol pour corriger sa dérive d'une branche à l'autre par exemple), il faut à mon avis les instruments indiqués dans la suite de l'article (horizon et variomètre en gros).

[Romain]

L’Avidyne m’est familier, mais celui-ci est monté sur quel avion ?

Columbia 400

[E.T.]

C'est clair que ce n'est pas clair, mais comme en on-top (prolongé en tous cas) on ne peut pas rester sur sa trajectoire sans instruments supplémentaires (on ne peut pas visualiser des points tournants au sol pour corriger sa dérive d'une branche à l'autre par exemple), il faut à mon avis les instruments indiqués dans la suite de l'article (horizon et variomètre en gros).

j'ai compris çà comme cela aussi.

[Philippe Warter]

L'horizon et le vario ne sont pas des instruments de nav. Donc on sait qu'on est à plat, et qu'on est stable en niveau (bien qu'avec un alti, c'est pas mal non plus!).
Mais on ne sait pas plus où l'on est.

[teubreu]

L'horizon et le vario ne sont pas des instruments de nav. Donc on sait qu'on est à plat, et qu'on est stable en niveau (bien qu'avec un alti, c'est pas mal non plus!).
Mais on ne sait pas plus où l'on est.

On est bien d'accord que sur l'aspect pratique il va falloir un VOR ou un GPS à un moment donné (si c'est du vrai on top où on ne voit pas le sol pendant une durée prolongée), même si ce n'est pas marqué noir sur blanc de la sorte en règlementation EASA.
Pour l'aspect purement administratif je pense qu'il faut aussi horizon et vario comme dit au-dessus. Je ne vois pas à quoi servirait le point b) du NCO 120 sinon.