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Splitcat a écrit:Jacques HM Cohen a écrit:Jan a conclu "vol marrant à ne pas refaire".....
J.
C'est un vol de deux heures (à vue de nez), et ils n'ont pas trop souffert d'une telle durée.
Donc si dans mon cas je fais juste une montée puis redescente (pas le budget pour monter au FL160 et y rester ), ça passe.
N'est-ce pas Gilles ?
Splitcat a écrit:Donc si dans mon cas je fais juste une montée puis redescente (pas le budget pour monter au FL160 et y rester ), ça passe.
Gilles131 a écrit:Splitcat, tu démontres avec acharnement un type de comportement que l'on cherche systématiquement à éliminer dans les sélections d'entrée en compagnie.
Je dis ça pour t'aider, après ce que tu en fais, ça te regarde.
Mais tu auras été prévenu.
Jan Tutaj a écrit:Splitcat, une chose est de faire ce vol dont je parlais , à deux et hyper entrainés, une autre est de ratiociner sans cesse pour prouver je ne sais quoi .
Comme dit Gilles , pour tes supposées prochaines sélections, c'est pas gagné
Jan, qui n'est pas oncle et certainement pas adoubé dans ce rôle , par Dr 399
Splitcat a écrit:Je vais tester un vol au FL130, de jour, bien reposé, et si jamais la SaO2 ainsi que le ressenti sont toujours « limites », il est évident que j’oublierai l’idée de monter au 160.
Et cette expérience ne pourrait-elle pas m’être utile le jour où je serais en vol, aux commandes d’un avion volant entre le FL 130 et 245, avec un masque à O2, et que, loi de Murphy oblige, ce masque me claquera sous les doigts, de préférence sans donner de signe visible ? Je saurais probablement reconnaitre l’hypoxie plus facilement et aurais des idées concrètes sur quoi faire (descendre, jusqu’où) et ne pas faire (s’activer).
Tu ne voudrais pas que je passe 100 heures de murissement à faire des ronds dans le ciel et des petites nav de 50nm à 3000ft par grand beau temps et zéro vent ?
Dans le cadre du murissement, on m’a toujours recommandé (pas que ici) de repousser les limites. En précisant bien : ne pas les repousser trop quand on est seul. Pour l’instant je ne crois pas que 120-130 soit trop repousser les limites.
Aviathor a écrit:Splitcat a écrit:Je vais tester un vol au FL130, de jour, bien reposé, et si jamais la SaO2 ainsi que le ressenti sont toujours « limites », il est évident que j’oublierai l’idée de monter au 160.
Et cette expérience ne pourrait-elle pas m’être utile le jour où je serais en vol, aux commandes d’un avion volant entre le FL 130 et 245, avec un masque à O2, et que, loi de Murphy oblige, ce masque me claquera sous les doigts, de préférence sans donner de signe visible ? Je saurais probablement reconnaitre l’hypoxie plus facilement et aurais des idées concrètes sur quoi faire (descendre, jusqu’où) et ne pas faire (s’activer).
Ça devient un peu du grand n'importe quoi... Si vraiment tu veux ressentir les effets de l'hypoxie tu ne prévois pas d'aller le faire en vol, et surtout pas en étant aux commandes.
On ne rigole pas avec ca. Au dessus de FL200 le "time of useful conciousness" est d'une petite poignée de minutes. Le temps de redescendre à une altitude où tu resatures et tu auras très certainement perdu conscience. Au FL250 à -2000 fpm il te faut 7,5 minutes pour redescendre au FL100. Attention aux oreilles. Tu as beau faire faire la descente à l'auto-pilote avec capture d'altitude, si tu perds conscience ton avion décrochera atteignant l'altitude cible.Tu ne voudrais pas que je passe 100 heures de murissement à faire des ronds dans le ciel et des petites nav de 50nm à 3000ft par grand beau temps et zéro vent ?
Dans le cadre du murissement, on m’a toujours recommandé (pas que ici) de repousser les limites. En précisant bien : ne pas les repousser trop quand on est seul. Pour l’instant je ne crois pas que 120-130 soit trop repousser les limites.
Tu as effectivement besoin de mûrir un peu. Je ne pense pas que ce qu'ils entendaient par repousser tes limites impliquait te mettre volontairement en danger. Repousser ses limites signifie faire des vols progressivement plus longs, vers des aéroports inconnus, des pays inconnus, par des météos qui nécessitent d'échafauder des stratégies dans la planification, et prendre des décisions tactiques en vol. Se familiariser avec les défis pratiques de la conduite de vol ainsi que de la logistique au sol.
Je veux bien me porter volontaire pour te faire mûrir comme un fruit vert! Je vais t'emmener au FL250. 30 minutes pour monter, 30 minutes pour redescendre. Moi je garderai le masque. Je n'en aurai qu'un à bord.
Splitcat a écrit:Tu exagères un peu non ? Forcément si tu me mets à une altitude cabine de 10 000 mètres, je meurs, comme tout le monde...
Pourquoi me parles-tu de TUC au delà du FL200 ? J'ai jamais parlé de dépasser le FL160, et encore uniquement si ça se passait bien au FL130.
Je crois même avoir dit que le DR400-180 avait les perfos pour tuer son pilote.
Aviathor a écrit: Bientôt tu vas nous proposer de faire des tonneaux à 2000' au dessus de la mer un jour de brume et poster le vidéo sur YT.
Bob a écrit:On a bien eu droit au demi-tour (panne moteur) à 800 ft ! Faut oser...
Splitcat a écrit:Gilles131 a écrit:Splitcat, tu démontres avec acharnement un type de comportement que l'on cherche systématiquement à éliminer dans les sélections d'entrée en compagnie.
Je dis ça pour t'aider, après ce que tu en fais, ça te regarde.
Mais tu auras été prévenu.
C’est bien noté, merci.
Pour mon cas, il s’agit de vols d’entrainement, pas de vols commerciaux.
Je vais tester un vol au FL130, de jour, bien reposé, et si jamais la SaO2 ainsi que le ressenti sont toujours « limites », il est évident que j’oublierai l’idée de monter au 160.
Et cette expérience ne pourrait-elle pas m’être utile le jour où je serais en vol, aux commandes d’un avion volant entre le FL 130 et 245, avec un masque à O2, et que, loi de Murphy oblige, ce masque me claquera sous les doigts, de préférence sans donner de signe visible ? Je saurais probablement reconnaitre l’hypoxie plus facilement et aurais des idées concrètes sur quoi faire (descendre, jusqu’où) et ne pas faire (s’activer).
Je ferai ma formation pratique sur DA42 équipé turbo-oxygène, croisière typique du FL100 au 180.
Tu ne voudrais pas que je passe 100 heures de murissement à faire des ronds dans le ciel et des petites nav de 50nm à 3000ft par grand beau temps et zéro vent ?
Dans le cadre du murissement, on m’a toujours recommandé (pas que ici) de repousser les limites. En précisant bien : ne pas les repousser trop quand on est seul. Pour l’instant je ne crois pas que 120-130 soit trop repousser les limites.
Quant à mon club, ...on a vu sur sa page FB des photos du mont blanc.. vu d'en haut
"Avait-on de l'O2 à bord ?" demanda un internaute curieux : "on en parle au club house autour d'un verre "
(et désolé, je n'ai pas réussi à supprimer ce surlignage blanc)
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