Nous sommes ravis de vous accueillir sur le forum des pilotes privés.
Vous êtes sur un forum de discussions public, permettant aux pilotes privés, mais aussi à tous les passionnés des choses de l'air, d"échanger leurs idées, leurs expériences, leurs questions.
S'il s'agit de votre premier accès à ce site et que vous n'avez pas créé de pseudonyme, votre accès est restreint. Vous devez obligatoirement vous enregistrer avant de pouvoir accéder à la totalité des rubriques, et apporter vos contributions. L'enregistrement ne prend que quelques secondes.
Pour cela, cliquez sur l'option "M'enregistrer " dans le menu à droite ci-dessus.
Si vous possédez déjà un identifiant, indiquez-le dans la zone de saisie ci-dessous.
Nous vous remercions pour votre compréhension, et vous souhaitons de passer de bons moments sur le Forum des Pilotes Privés.
Les Administrateurs
Petite astuce, que je pratique depuis longtemps:G.BOUIN a écrit:.....Au cours du changement de code transpondeur, pour afficher 7000 je suis passé par inadvertance sur 7700 le temps d'un éclair.....
Philippe Warter a écrit:Comme c'était toujours au décollage (cas le plus fréquent des pannes moteur), le choix a toujours été facile : droit devant!
Delépine a écrit:Je parle évidemment pour ceux qui n'ont pas besoin de limiter le nombre de minutes de chauffe à 2,50 euros pièce
Philippe Warter a écrit:Je n'ai jamais bien compris en quoi les transpondeurs sur avion léger augmentent la sécurité.
Le seul argument valable serait d'éviter les collisions. Ce qui n'est bien sûr pas le cas, il y en a de toute façon très peu, et la majorité des aéronefs de moins de 2 tonnes n'en sont pas équipés.
On connait très bien les causes d'accident, depuis le temps qu'on bat des records :
- panne d'essence
- mauvaises conditions météo.
A elles seules, elles représentent plus de 80% des causes d'accidents mortels.
Et je ne vois pas comment remplir un réservoir ou améliorer la météo avec un transpondeur. Faut m'expliquer.
Restent donc les fameuses collisions. Prenez les rapports du BEA sur 10 ans. Vous constaterez qu'il n'y en a aucune entre un appareil équipé et un appareil non équipé.
Idem, on sait très bien où elles se produisent. En circuit ou à l'abord des aérodromes. Juste au moment où les appareils quittent les fréquences SIV pour passer soit en A/A, soit en AFIS, soit en TWR. Bref juste au moment où l'on traffique avec un organisme qui ne gère pas la séparation des appareils qu'il n'a pas en visuel.
Lisez les rapports du BEA. C'est très instructif. Il y a également un résumé des accidents de l'année 2015. Edifiant.
Volez par beau temps, avec une heure de réserve dans le réservoir. Et vous verrez qu'on n'éprouve absolument aucun besoin d'apparaître sur un radar.
C'est ce que j'enseigne depuis des années. A ma connaissance, ça n'a provoqué à ce jour aucun décès.
Si vous voulez voler haut, vite, et par mauvais temps, vous n'arriverez jamais à concurrencer la ligne, même avec une grosse sacoche.
Delépine a écrit:Ce qui est curieux avec les collisions est que leur probabilité en fonction du nombre d'avions en l'air est plutôt irrégulière. Par exemple il y a un certain risque avec deux avions en vol, tandis qu'avec un seul ce n'est pas du tout la moitié de la valeur précédente.
Retourner vers En l'air, autour de ce qui vole
Utilisateurs parcourant ce forum: Andre Tissot, X-1 et 384 invités