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Tontonlyco a écrit:Quelques précisions salvatrices avant que Splicat ne tente une nouvelle expérience hasardeuse.
Par définition l' oxygène s' utilise à des altitudes élevées, parfois au dessus d'une couche, sauf qu' à cette altitude la couche sera pratiquement toujours givrante, une panne d'oxygène vous placera donc dans une situation très délicate.
Par exemple au FL 150 au dessus d'une couche givrante si votre oxygène s' arrête, soit vous ne descendez pas et vous risquez au mieux l' oedème du cerveau, soit vous descendez et vous vous transformez en glaçon, sauf avion équipé pour.
Le pire étant d' attendre les effets de l' hypoxie et de cumuler les deux.
Pour cette raison il faut toujours emporter deux bouteilles d' oxygène munies chacune de leur détendeur.
De plus vous pourrez ainsi vider complétement une bouteille et ne pas gaspiller l' oxygène restant en rendant la bouteille consignée.
L'accessoire indispensable est l'oxymètre qui permet d'optimiser l' usage en maintenant son taux de SAO² à 95% environ, en général un débit de 2 litres par minute est suffisant voire 1 litre si vous n'êtes pas trop haut.
Cap11 a écrit:L'oedème du cerveau à 4600 m ! Heureusement que les centaines de "touristes" qui escaladent le Mont Blanc chaque année (en fournissant un effort physique sans comparaison avec celui d'un pilote et en séjournant à cette altitude pendant un temps respectable) sont là pour démontrer que ce n'est qu'un risque marginal... .
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