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robur a écrit:Haflinger a écrit:l'avion se fout de la vitesse conventionnelle, plus il va vite plus il tourne vite (et inversement)
par exemple a 10 000 ft (FL 100), la densite de l'air est de 73% de l'atmosphere standard, a vitesse indiquee egale la vitesse air est superieure de 17 %
en tonneau l'avion decrit une helice de pas constant, plus il avance vite plus il tourne vite
Peux-tu nous expliquer comment la vitesse air devient supérieure à la vitesse indiquée !
Ne confonds-tu pas avec la vitesse propre ?
Bob a écrit:robur a écrit:Haflinger a écrit:l'avion se fout de la vitesse conventionnelle, plus il va vite plus il tourne vite (et inversement)
par exemple a 10 000 ft (FL 100), la densite de l'air est de 73% de l'atmosphere standard, a vitesse indiquee egale la vitesse air est superieure de 17 %
en tonneau l'avion decrit une helice de pas constant, plus il avance vite plus il tourne vite
Peux-tu nous expliquer comment la vitesse air devient supérieure à la vitesse indiquée !
Ne confonds-tu pas avec la vitesse propre ?
Au FL100 la pression est de 700 hPa, soit 69 % du sol !
Coanda a écrit:Bonjour,
Comme beaucoup de pilote VFR "de plaine" je ne vole jamais très haut, ce qui me permet d'ailleurs d'apprécier le paysage.
Aussi je me demande ce qui se passerait d'un point de vue strictement pilotage, si un jour je décidais de monter le plus haut possible avec mon PA38 ou autre chose de mieux motorisé...
Je vais devoir progressivement appauvrir mais aussi, je suppose ( à un certain moment) pousser la manette des gaz pour augmenter le débit et maintenir la puissance, mais jusqu'à quel point ?
Je suppose aussi que mon avion, du fait d'une densité air inférieure, sera plus mou aux commandes, deviendra t-il incontrôlable ?
Bonne journée.
BravoMike a écrit:. Le taux de roulis qui augmente à Vi constante me plait particulièrement
BravoMike a écrit:Bonjour à tous,
J'interviens peu sur le forum mais c'est toujours un plaisir de lire les contributions passionnantes de certains et parfois drôles de certains autres. Le taux de roulis qui augmente à Vi constante me plait particulièrement
Une question plus sérieuse pour des gens calés en aéro comme Gilles:
Imaginons qu'on monte avec un avion léger bien plus haut que son plafond démontré en utilisant par exemple des masses d'air ascendantes. Serait il possible que l'avion ait alors un (léger) comportement oscillant en tangage qu'il n'a jamais montré à plus basse altitude? Et si oui comment l'expliquer?
Merci,
Splitcat a écrit:p : taux de roulis (rad/s)
TAS : ..la TAS quoi
Donc p augmente avec la TAS. Désolé de donner raison à l'un ou à l'autre je ne suis qu'un scientifique
Delépine a écrit:Pour la stabilité en altitude j'ai cru comprendre qu'elle y décroissait, dans Ferber, 1908, mais comme c'est avec des mathématiques de polytechnicien je déclare forfait.
Splitcat a écrit:Tu ferais confiance, sur le sujet du vol à haute altitude, à un mec qui est mort à une époque où le record d'altitude frôlait les 1500 pieds ?
Haflinger a écrit:ce n'est pas un ego c'est une montagne, tu devrais savoir que meme si cela te fais mal il vaut mieux admettre que de s'enfoncer...
Haflinger a écrit:excuse moi de n'etre meme pas agace,
Haflinger a écrit:pas le moindre element contradictoire valable
Gilles131 a écrit:Avec l'utilisation qu'on en fait, ce ne dit pas être perceptible dans le domaine d'utilisation normal.
Par contre, avec une instrumentation, on devrait le mesurer aisément sur des vols d'ouverture du domaine (survitesse).
Sur un avion de voltige moderne, maîtriser ce phénomène est fondamental pour obtenir un bon taux de roulis. D'où les ailes super épaisses en carbone, raides comme un coup de trique.
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