Le forum des pilotes privés

Pas de nostalgie ! On y reviendra.
au billet transatlantique équivalant à cinq mille euros.
Les dames qui ressemblent à des dames, ça, non, on n'y reviendra pas.

Tout l'avion en zone fumeur non plus .. je me souviens que cette pratique a été interdite en deux temps , les fumeurs ont d'abord été confinés au fond de l'avion pendant qq années et ensuite forbidden partout et il était même distribué des nicorettes aux passagers qui avaient oublié les leurs pour éviter qu'ils aillent fumer aux chiottes

Les mécanos qui avaient a démonter les vannes de régulation de la pressurisation ont apprécié l'interdiction de fumer à bord. Elles sont plus engluée dans le goudron.

Manu

Non, mais attends manu... Je paie mon billet pour être transporté. Je ne te demande pas comment fonctionne l'avion...

Version choucroute, mais toujours avion macdo :

VHS-Rip Deutsche Lufthansa Lockheed L-1649A Starliner Promo Film 1958, GER - YouTube

Delépine a écrit:Non, mais attends manu... Je paie mon billet pour être transporté. Je ne te demande pas comment fonctionne l'avion...

Jusqu'au jour où tu subis un déroutement à cause d'une panne de pressu.

Manu

Manu a écrit:

Delépine a écrit:Non, mais attends manu... Je paie mon billet pour être transporté. Je ne te demande pas comment fonctionne l'avion...

Jusqu'au jour où tu subis un déroutement à cause d'une panne de pressu.

Manu

Voilà pourquoi il faut revenir à l'avion à hélice, dont la distance franchissable ne dépend pas de l'altitude de vol.

miky a écrit:Tout l'avion en zone fumeur non plus .. je me souviens que cette pratique a été interdite en deux temps , les fumeurs ont d'abord été confinés au fond de l'avion pendant qq années et ensuite forbidden partout et il était même distribué des nicorettes aux passagers qui avaient oublié les leurs pour éviter qu'ils aillent fumer aux chiottes

Lufthansa avait une autre solution dans les années 80 : les fumeurs à droite de l'allée, les non fumeurs à gauche sur les avions mono couloir). Résultat garanti pour les non-fumeurs du bord de l'allée et, bien qu'un peu moins, leurs voisins de gauche

Delépine a écrit:Voilà pourquoi il faut revenir à l'avion à hélice, dont la distance franchissable ne dépend pas de l'altitude de vol.

A condition que sa motorisation lui permette de garder une incidence constante ...

Pardon, quelle est la difficulté ? Nous parlons de l'avion qui doit descendre de son altitude de croisière élevée à cause d'une panne de pressurisation.

Delépine a écrit:Pardon, quelle est la difficulté ? Nous parlons de l'avion qui doit descendre de son altitude de croisière élevée à cause d'une panne de pressurisation.

En poursuivant son vol à basse altitude il arrivera probablement avec un peu de retard  ( s'il souhaite évidement conserver une quantité de carburant consommée  identique )


  

Pour ça oui, mais c'est ta mention de la motorisation que je n'ai pas comprise.

Delépine a écrit:Pour ça oui, mais c'est ta mention de la motorisation que je n'ai pas comprise.

J’essayais de signaler que la validité de ta remarque : "Voilà pourquoi il faut revenir à l'avion à hélice, dont la distance franchissable ne dépend pas de l'altitude de vol." était limitée par la puissance installée.

Pour un avion doté d'un ou plusieurs moteur(s) à piston, la distance franchissable maximale s'obtient en volant à l'incidence de finesse max .


Si à incidence constante on augmente l'altitude :
Pour obtenir l'équilibre portance poids,  il faut augmenter la vitesse puisque la masse volumique décroit...
La traînée ( comme la portance ) reste évidement constante et par conséquent la puissance nécessaire augmente

La puissance disponible définit donc l'altitude au delà de laquelle le vol à incidence constante n 'est plus possible.

Certes, mais nous sortons ici de l'épure puisque nous supposions un avion qui avait de quoi voler en altitude et qui descend voler plus bas à la suite de sa panne de pressurisation.