Il n’est pas rare lors d’une intervention à flanc de montagne que les pales tournent à moins d’un mètre de la paroi avec en sus un risque de chutes de pierres.
Le moindre contact peut-être fatal dans ce cas et c’est deja arrivé.
Je me souviens d’une alouette 3 qui a touché et a réussi à se poser en urgence au sol avec un sauveteur pendu au treuil.
Tout le monde s’en est sorti indemne sauf l’alouette qui a été ensuite treuillée par un super Puma.
Dans notre cas, je me trompe peut être mais je ne suis pas sur qu’un simple contact des pales avec la neige soit aussi dangereux si les pales ne pénètrent pas plus d’une dizaine de centimètres.
Il existe par contre aussi parfois un risque de renversement dynamique si le patin touchant accroche un obstacle.
Pour l’anecdote, j’ai vu un jour dans mon atelier de maintenance un Robinson dont il a fallu changer les pales quasi neuves ( 25.000 € ) parce que madame avait lancé du tarmac à son mari le téléphone portable qu’il avait oublié
!
Je laisse commenter cette anecdote à Écho Victor