Objectivement, le plus difficile sera certainement administratif. Passe encore sur les petits terrains, mais à Cannes (ou ailleurs), sortir en voiture l'avion qui vient d'atterrir, j'imagine la clairance de roulage. L'inverse risque de ne pas être simple. On verra à l'usage, je suppute (comme aurait dit Audiard).
Bon, maintenant, j'aurais quelques inquiétudes à décoller avec ma "voirure" laissée quelques instants en stationnement, hors lieux sécurisés. Une manoeuvre maladroite bénigne pour une auto "normale" risque de ne pas l'être pour ce genre d'engin.
D'un point de vue pragmatique, à part pour frimer quelques instants le prix de ce genre d'engin le destine à une clientèle qui a largement les moyens de s'affranchir autrement des contraintes de l'avion. Passer du jet privé à l'hélico posé à côté sur le parking suivi du chariot de valises Vuitton de Madame, ou voyager à 100 kts et 3 h d'autonomie avec un sac de voyage de 10 kg max, pour finir par la route dans un quadricycle à moteur, à mon avis le choix est vite fait.
Je cours rejoindre Tonton au salon (VIP j'espère) des "
mauvais coucheurs" d'Aviathor