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Les Administrateurs
PhM a écrit:C'est du speed-flying !
Cela me "fout les boules", vous ne pouvez pas savoir à quel point.
J'ai arrêté le para en 2005, mis en vente mon parachute. Aucun succès ! Une loi que je juge hypocritement scélérate, limite la superficie des voiles en fonction du poids et de l'expérience du sautant. Que du bon sens !
Ma voile fait partie de cette catégorie, mais est trop vieille pour intéresser quelqu'un de ce niveau. Elle ne peut que s'adapter à la pratique du speed-flying, à la rigueur. La déchirer, la perdre, ne serait pas une affaire !
Je regarde ces images avec envie, nostalgique d'une période révolue qui m'a fait connaître des moments de bonheur fugace et rencontrer des personnes d'exception. Je n'ai jamais fait de speed-flying, mais j'imagine le vol comme un pilote dans un simu dynamique assimile ses actes à la "vraie vie".
Je rumine des souvenirs de chute dans des délires oniriques provoqués par des benzodiazépines vendues comme myorelaxants (merci Jacques C. de m'avoir ouvert les yeux) associées à des antiflammatoires tout autant inefficaces.
J'essaie de me sevrer, mais ce n'est pas facile de se tourner dans son lit en plein sommeil en prenant sa tête entre deux mains pour lutter contre la douleur arthrosique.
Les microtraumatismes des ouvertures brutales relèguent parfois l'idéalisme du début de mes rêves à un final cauchemardesque.
Ces images sont le déclencheur d'une psychothérapie de bistrot virtuel. Désolé de vous l'avoir imposée, c'est la faute à internet.
PhM a écrit:C'est du speed-flying !
Je rumine des souvenirs de chute dans des délires oniriques provoqués par des benzodiazépines vendues comme myorelaxants (merci Jacques C. de m'avoir ouvert les yeux) associées à des antiflammatoires tout autant inefficaces..
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