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Les Administrateurs
C'est toi qui le dis, pas moi. Il est certain que la corrosion saline est bien plus agressive et rapide que celle de l'eau douce, mais il faut aussi tenir compte des dégâts causé par l'immersion des équipements électroniques et électriques, ainsi que des instruments divers. Il faut alors voir si la récupération de tel ou tel équipement est économiquement intéressante, si elle est techniquement réalisable. Ce qui peut être envisagé sur un appareil valant des dizaines de millions d'€ ne l'est pas s'il vaut 100 fois moins. Le raisonnement est différent quand il y a une valeur historique, comme dans le cas de restauration d'appareils anciens rares ou uniques récupérés dans un état qui aurait valu la mise à la ferraille immédiate d'un avion courant.deltafox52 a écrit:Donc d'après ce que tu dis, je peux en déduire que les pièces qui ne sont pas abîmées sont logiquement toutes conservées, si elles ont été vites rincées & n'ont pas eu le temps de se dégrader ?
Et normalement, tout avion récupéré dans de bonnes conditions doit pouvoir être remis en ordre de marche ?
augstin a écrit:ça doit dépendre aussi pas mal de si le pilote a réussit un petit "plouf " tout gentil, ou si c'est plutôt un gros SPLASCH !!
le mirage grec était presque intact, et la chapeau au pilote, parce que vu la vitesse de décrochage du bestiaux ...
l'eau quand on y rentre à 200km/h ça doit pas être si doux que ça...
Jean-François GEAY a écrit:En général, la cellule ne travaille pas trop lors du retournement.
C'est quand on veux la remettre à l'endroit trop rapidement (y a beaucoup d'eau dedans) que ça fait mal...
andre44 a écrit:Il y a des spécialistes qui vont chercher des avions accidentés, loin de la civilisation , parfois il le remettent en état de vol temporairement , ils passent plusieurs jours avec les moustiques et mouches noir . (ils savent manier la popeuse a rivets et le siceau a tole )
André
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