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Je recherche l'info suivante(André,Jeff).
Quel est la quantité minimale pour un moteur Lycoming O-320 E.Merci.
ps:Je sais qu'il faut 6 quarter de gallon pour mettre en route,masi est ce la quantité minimale pour le moteur ou cela contient il une réserve en cas de fuite ou autre.
Merci

Bonjour
Plein c'est 8 Qts
le minimal c'est 2 Qts

Le bon niveau c'est quand il reste stable ,
Pour un lycoming O-290 d2 ;O-320
le maximum c'est 8 mais si tu le tiend a ce niveau , si les segment sont un peu avancés , qu'il souffle dans le carter, cela vas cracher 1litres assez vite par le reniflard , et cela vas descendre autour de 6,5
6,5 a 6 c'est avec ce niveau que j'opére mon moteur ..
Décoller avec 2 litres dans le carter c'est c'est de l'inconsience .. pas par ce que le manuel dit (minimum safe 2 qts )
j'ai jamais descendu en bas de 4 même après un voyage de plusieurs heures.
Commence a remplir a 7, Aprés plusieurs essaies on trouve le bon niveau , ou la consommation reste stable .
la consommation huile augmente avec les RPM en croisiére a 2500rpm il consomme plus qu' a 2200 rpm
l'huile aussi dépassé 30 heures il en consomme plus facilement .

André

Pour opérer quelques o-320, les consignes sont les suivantes : quand c’est en dessous de 6, remettre un litre

La conso que j’observe est de l’ordre de 4 à 5 litres toutes les 50h

Merci pour ces retours qui confirment mes observations.
Toutefois, j'ai cru remarquer une augmentation de cette consommation d'huile durant les fortes chaleurs de cet été...
Vous confirmez ?

Sur mon destrier, équipé d'un  IO320B1A, je maintiens le niveau   entre le repère 6 et 6,5 sur la jauge. Au dessus de 6, 5 le surplus est rapidement ''mangé''.

Entre hiver et cet été, bien évidement la conso huile à temps de vol identique est supérieure. Décollage au mois de juillet de Candillargues avec 40°c au sol, il ne fallait pas tirer trop fort en montée vers les Cévennes pour ne pas dépasser les''bornes des limites'' (temp. huile).

Cependant, remarque: même dans cette situation les temp. culasses restent dans une valeur assez stable.

René-Pierre Teindas a écrit: (...) pour ne pas dépasser les''bornes des limites''.

Cette histoire de "bornes des limites" n'a rien à voir avec la température. C'est juste parce que comme "Maurice", il avait "bouffé tous les chocosuisses"

LISW a écrit:

René-Pierre Teindas a écrit: (...) pour ne pas dépasser les''bornes des limites''.

Cette histoire de "bornes des limites" n'a rien à voir avec la température. C'est juste parce que comme "Maurice", il avait "bouffé tous les chocosuisses"

C'est toute ma vie les bornes et les limites....

andre44 a écrit:BDécoller avec  2 litres dans le carter c'est c'est de l'inconsience .. pas par ce que le manuel dit (minimum   safe 2 qts )  

Je me disais aussi...

Il faut savoir que l'on peut descendre assez bas mais que l'huile peut donc se déporter en fonction de l'assiette de l'avion et entrainer des conséquences désagréables.

Le serrage devient alors la juste sanction du vol bille décentrée.

Sur le Cap 10 (AEIO-360) le mini est à 1.8 ... Non mesurable car la tige ne descend que à 4. Je pensais que c'était parce qu'il avait le système de graissage dos qu'on avait le "droit" de descendre si bas ...

...et puis il y a la question de la mesure : faut-il visser ou pas le bouchon prolongé de la jauge graduée.

Je confirme les chiffres d'André, ça ne sert à rien d'en mettre trop, à un moment il se stabilise, chaque moteur est un peu différent. Le mien , à 5, il n'en bouffe quasi plus.

Facile à identifier pour un avion de propriétaire, mais en club, chacun croit bien faire en rajoutant un peu d'huile.
Corollaire: admirer sous les fuselages les belles traces bien grasses

Parceque "on" ne leur dit pas qu'il ne faut pas faire le niveau d'huile moteur chaud.

D'ailleurs, en règle générale, beaucoup de conducteurs d'avions en aéroclub (ou ailleurs) ne savent pas grand chose concernant la mécanique de base, par contre les codes OACI des AD et les GPS, pas de problème!