Re: AIRBUS A350-1000 (retour du SIAE au Bourget)
Posté: Dimanche 23 Juin 2019 16:13
Ce sujet est un peu éloigné de nos préoccupations de pilotes privés mais je le conclus par la présentation d’un schéma étayant les renseignements donnés ci-dessus par Micfly. (i.e. les zones 2, 3 et 4 dégivrées).
Autre explication de la non totalité de dégivrage de l’aile : la présence de carbone empêche la formation de givre par rapport au métal. Traditionnellement, en présence d’air humide, on peut observer sur des avions venant d’arriver, la formation de givre sur les structures métalliques refroidies par un long vol en altitude. Sur cet appareil, le phénomène est limité à quelques rares plaques métalliques sous l’intrados.
Le givrage étant la bête noire des pilotaillons volant dans les basses couches, le sujet me prenait un peu la tête, mais depuis j’ai pris des goutes et ça va mieux !
Autre explication de la non totalité de dégivrage de l’aile : la présence de carbone empêche la formation de givre par rapport au métal. Traditionnellement, en présence d’air humide, on peut observer sur des avions venant d’arriver, la formation de givre sur les structures métalliques refroidies par un long vol en altitude. Sur cet appareil, le phénomène est limité à quelques rares plaques métalliques sous l’intrados.
Le givrage étant la bête noire des pilotaillons volant dans les basses couches, le sujet me prenait un peu la tête, mais depuis j’ai pris des goutes et ça va mieux !