Le forum des pilotes privés

Gabinger a écrit:- je modifie, au pied levé mon itinéraire, en 15 minutes, avec les outils qui vont bien je refait un plan de vol, en passant au Nord de Nice, puis Teillon, St André, La Blanche (et si c'est pris sur l'Estrop où sur la blanche je sais que je peux passer plus à l'Ouest)...

Comme le dit Tonton, en pilote prudent, j'avais fait les pleins complets, du coups, toujours avec le logiciel qui va bien, je re-vérifie mes conso et mes marges, et tout va bien. Idem pour le centrage.
Je re-dépose mon plan de vol, et je part, pas trop tard, en sécurité, car rien n'est laissé au hasard.

Sauf que ce que tu nous explique c'est tout.... sauf de l'impro!

Bonjour

Quand vous parlez d'improviser c' est la destination, la navigation, ou les préperatif de l'avion ?
Cela fait 36 ans que je vol sur le même avion et sur une base réguliere .
La plupart des vols sont improvisés je ne sait pas , une fois décollé, ou je vais aller ?En hiver sur skis en principe direction le lac Blanc c'est la que on rencontre d'autres pilotes et que les décisions d'aller a tel ou tel endroits sont prise , parfois un simple message radio et des cordonnées GPS et on rejoins les autres .
Bien évident que avant de démarrer le moteur il y a la prévol niveau huile deux bidons dans le coffre niveau du carburant entre 3 et 4 heures de vol drainer le gascoletor mise en marche sélection des magnetos ect.. GO décollage aprés on verra..
Si le voyage se limite a 150km autour aucune préparation , depuis cela fait assez longtemps que je viraille aux alentours pour connaitre tous les racoins .
La plupart des voyages de plus de 100km se font uniquement au GPS autrement les petites sorties uniquement visuel .
Il y a bien des années l'avion un Champion 7AC couchait dehors , en arriere de l'acierie ou je travaillais et presque a tous les jours en sortant du travail j'allais voler (le baril de 80/87 proche de l'avion ) sans aucune préparation , sans même savoir ou aller et je rentrais avant la nuit , parfois un peu sombre dans le champs .
J'ai été habitué comme cela , bien avant les GPS et la radio a bord le vieux pilote qui avait un Cessna 140 ma éduquer a sa manière . On vas au Lac williams , c'est ou ? il me montre de la main la direction c'est par la bas . De toute facon si la météo est merdeuse on rentre dans un champs et on attend que cela se se passe , c'etait entre 1970 et 1985 ensuit les GPS sont arrivée quelle simplicité plus besoin se calibrer la boussole, les traits sut le carte .

Actuellement en hiver sur skis c'est atterrissage partout , en été il faut être plus sélectif pour les champs , juste savoir ou trouver du carburant . Si météo se dégrade de trop, tu atterrie et tu attend . Pas de ZIT juste quelque gros aéroport mais facile a contourner .

Le jour ou il faudra passer la veille du vol a faire des préparatifs pour un petits vol de 1h30 cela sera le temps d'arreter de voler .

André

Le manche a écrit:

Gabinger a écrit:- je modifie, au pied levé mon itinéraire, en 15 minutes, avec les outils qui vont bien je refait un plan de vol, en passant au Nord de Nice, puis Teillon, St André, La Blanche (et si c'est pris sur l'Estrop où sur la blanche je sais que je peux passer plus à l'Ouest)...

Comme le dit Tonton, en pilote prudent, j'avais fait les pleins complets, du coups, toujours avec le logiciel qui va bien, je re-vérifie mes conso et mes marges, et tout va bien. Idem pour le centrage.
Je re-dépose mon plan de vol, et je part, pas trop tard, en sécurité, car rien n'est laissé au hasard.

Sauf que ce que tu nous explique c'est tout.... sauf de l'impro!

Bin si, c'est 15 minutes, pour changer completement de plan de vol. Après l'improvisation totale, c'est un changement en vol, ça aussi j'en ai parlé. Je ne vois pas ce qu'il vous faut de plus?

André a raison, il faut pas tout compliquer (même si chez nous, les espaces aériens ne sont pas simples).

andre44 a écrit:
Le jour ou il faudra passer la veille du vol a faire des préparatifs  pour un petits vol de 1h30  cela  sera le  temps d'arreter de voler .

Pas de danger chez nous d'arrêter pour si peu puisque c'est en faisant comme ça qu'on commence.