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Les Administrateurs
gma a écrit:Ce qui est extraordinaire, sur un forum Français, c'est que vous allez chercher chez Deakin et Busch ce que vous n'avez jamais connu de Georges Regembeau...
Aviathor a écrit:De toute façon j’ai arrêté de lire la prose de gma qui me rentre par un œil et ressort par l’autre.
Tontonlyco a écrit:gigi a écrit:Deakin, Busch, je vois qu'on avance enfin, même sur un forum français, et que les préjugés sur le LOP commencent à tomber...
Lire que voler (correctement) LOP allonge la durée de vie du moteur et permet des économies de carburant en consentant simplement une petite baisse des performances, quel bonheur !
A condition d'avoir les températures pour chaque cylindre
Tontonlyco a écrit:gigi a écrit:Deakin, Busch, je vois qu'on avance enfin, même sur un forum français, et que les préjugés sur le LOP commencent à tomber...
Lire que voler (correctement) LOP allonge la durée de vie du moteur et permet des économies de carburant en consentant simplement une petite baisse des performances, quel bonheur !
A condition d'avoir les températures pour chaque cylindre
Aviathor a écrit:René-Pierre Teindas a écrit:Aviathor: lisez bien, ma remarque vaut pour l'appareil que décrit Gma.
Comprends pas. Le schéma montrera exactement où se trouve la sonde et il n’y aura aucune ambiguïté.
De toute façon j’ai arrêté de lire la prose de gma qui me rentre par un œil et ressort par l’autre.
Gilles131 a écrit:Tontonlyco a écrit:gigi a écrit:Deakin, Busch, je vois qu'on avance enfin, même sur un forum français, et que les préjugés sur le LOP commencent à tomber...
Lire que voler (correctement) LOP allonge la durée de vie du moteur et permet des économies de carburant en consentant simplement une petite baisse des performances, quel bonheur !
A condition d'avoir les températures pour chaque cylindre
Qui vole encore sans anayseur moteur??
Richard78 a écrit:Pour résumer un peu et faire simple, si possible.
Je suis dans mon petit avion, je décolle les 3 manettes dans le tableau, je monte tranquillement, je rentre les trainées, je réduis un peu 25/25 par exemple.
Une fois en palier, un peu à n'importe quelle altitude, j'appauvris, je tire lentement la petite manette rouge, je vois les températures EGT augmenter, à un certain moment cela plafonne (le pic) puis redescend ensuite.
Avant, au pic (au fait on choisit le cylindre qui est le plus rapidement chaud comme référence ou le dernier à atteindre le pic ?), on enrichissait un peu pour redescendre la température de 50 à 75 ° F (ROP), maintenant on appauvrit encore un peu pour être en-dessous de 50 °F après le pic (LOP).
C'est cela ou je n'ai rien compris du tout, c'est possible …
Le fuel flow (débimètre) sert comme référence la consommation devant bien sûr diminuer pendant cette opération, le débit le plus bas n'étant pas forcément le meilleur pour le moteur bien sûr, sinon pour un même avion peut-on le prendre comme référence rapide ?
Merci.
Richard78 a écrit:Pour résumer un peu et faire simple, si possible.
Je suis dans mon petit avion, je décolle les 3 manettes dans le tableau, je monte tranquillement, je rentre les trainées, je réduis un peu 25/25 par exemple.
Une fois en palier, un peu à n'importe quelle altitude, j'appauvris, je tire lentement la petite manette rouge, je vois les températures EGT augmenter, à un certain moment cela plafonne (le pic) puis redescend ensuite.
Avant, au pic (au fait on choisit le cylindre qui est le plus rapidement chaud comme référence ou le dernier à atteindre le pic ?), on enrichissait un peu pour redescendre la température de 50 à 75 ° F (ROP), maintenant on appauvrit encore un peu pour être en-dessous de 50 °F après le pic (LOP).
C'est cela ou je n'ai rien compris du tout, c'est possible …
Le fuel flow (débimètre) sert comme référence la consommation devant bien sûr diminuer pendant cette opération, le débit le plus bas n'étant pas forcément le meilleur pour le moteur bien sûr, sinon pour un même avion peut-on le prendre comme référence rapide ?
Merci.
gma a écrit:Eh bien non, puisque dans ce choix de réglage (25/25), en phase de montée (mauvais refroidissement), sans stabilité de l'OAT et de la pression d'admission, vous allez choisir de passer du côté pauvre du PIC EGT...
Si vous avez envie de perforer un piston ou griller une soupape d'échappement, c'est effectivement la bonne méthode...
Le côté pauvre du pic EGT, pour aller le chercher, attendez d'être en croisière, à régime stable, pas en surcouple (23/2500 par exemple), volets de capot réglés (temp stable), à OAT figée ou presque...
Et en montée, là ou vous demandez la puissance optimale pour le régime choisi (couple maxi, donc EGT max), contentez vous d'appauvrir au pic EGT, à défaut un peu plus riche... Le but étant de contenir la température... Pas de faire des économies.
gma a écrit:Richard78 a écrit:Pour résumer un peu et faire simple, si possible.
Je suis dans mon petit avion, je décolle les 3 manettes dans le tableau, je monte tranquillement, je rentre les trainées, je réduis un peu 25/25 par exemple.
Une fois en palier, un peu à n'importe quelle altitude, j'appauvris, je tire lentement la petite manette rouge, je vois les températures EGT augmenter, à un certain moment cela plafonne (le pic) puis redescend ensuite.
Avant, au pic (au fait on choisit le cylindre qui est le plus rapidement chaud comme référence ou le dernier à atteindre le pic ?), on enrichissait un peu pour redescendre la température de 50 à 75 ° F (ROP), maintenant on appauvrit encore un peu pour être en-dessous de 50 °F après le pic (LOP).
C'est cela ou je n'ai rien compris du tout, c'est possible …
Le fuel flow (débimètre) sert comme référence la consommation devant bien sûr diminuer pendant cette opération, le débit le plus bas n'étant pas forcément le meilleur pour le moteur bien sûr, sinon pour un même avion peut-on le prendre comme référence rapide ?
Merci.
Eh bien non, puisque dans ce choix de réglage (25/25), en phase de montée (mauvais refroidissement), sans stabilité de l'OAT et de la pression d'admission, vous allez choisir de passer du côté pauvre du PIC EGT...
Si vous avez envie de perforer un piston ou griller une soupape d'échappement, c'est effectivement la bonne méthode...
Le côté pauvre du pic EGT, pour aller le chercher, attendez d'être en croisière, à régime stable, pas en surcouple (23/2500 par exemple), volets de capot réglés (temp stable), à OAT figée ou presque...
Et en montée, là ou vous demandez la puissance optimale pour le régime choisi (couple maxi, donc EGT max), contentez vous d'appauvrir au pic EGT, à défaut un peu plus riche... Le but étant de contenir la température... Pas de faire des économies.
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