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Haflinger a écrit:...c'est du basique de chez PPL, consulte un manuel, l'anemometre indique la vitesse en se basant sur la pression dynamique grace au tube pitot et a la prise statique,
hors la pression dynamique est proportionelle a la masse volumique de l'air qui elle meme decroit avec l'altitude, 73% a 10 000 ft
robur a écrit:Haflinger a écrit:...c'est du basique de chez PPL, consulte un manuel, l'anemometre indique la vitesse en se basant sur la pression dynamique grace au tube pitot et a la prise statique,
hors la pression dynamique est proportionelle a la masse volumique de l'air qui elle meme decroit avec l'altitude, 73% a 10 000 ft
Tu as parfaitement raison,en altitude la vitesse air est effectivement supérieure, à la vitesse indiquée...
Par conséquent, à vitesse indiquée constante , la pression dynamique reste elle aussi constante.
Le moment de roulis du au braquage des ailerons qui est lié à la pression dynamique devrait donc être indépendant de l'altitude.
Par contre, l'augmentation de la vitesse air doit réduire le moment d'amortissement puisque que pour une même vitesse de roulis la variation d'incidence locale est plus faible.
La vitesse de roulis devrait donc comme tu le signales fort justement, augmenter avec l'altitude !
Splitcat a écrit:Quid d'un avion de ligne ? J'avais cherché à observer précisément un saumon dont l'aileron bouge vu du hublot, filmé sur youtube, mais ce n'était pas très concluant..
Spitcat a écrit:Autre question : que se passe-t-il quand on arrive proche de la Vne et/ou du flutter ?
Est-ce que le flutter commence à se faire ressentir par des vibrations douces, puis qui s'amplifient très vite avant de tout péter ? (ici les mots commencent et avant font référence non au temps qui progresse mais à la vitesse de l'avion qui augmente)
Gilles131 a écrit:Tu vois, Hafl, je suis d'accord avec toi: c'était vraiment pas la peine de t'énerver comme ça!
Sauf que moi, je sais pourquoi. C'est comme l'histoire du nudiste et du naturiste: y se foutent à poil tous les deux, mais le naturiste, lui, il sait pourquoi.
Gilles131 a écrit:Ah ben oui, ça c'est sûr: j'interviens systématiquement et copieusement sur tout sujet même si je n'ai rien à dire ou si je n'y entends rien, j'affirme de façon péremptoire mais ne daigne rien expliquer pour bien montrer à quel point je vous domine tous
robur a écrit:Haflinger a écrit:...c'est du basique de chez PPL, consulte un manuel, l'anemometre indique la vitesse en se basant sur la pression dynamique grace au tube pitot et a la prise statique,
hors la pression dynamique est proportionelle a la masse volumique de l'air qui elle meme decroit avec l'altitude, 73% a 10 000 ft
Tu as parfaitement raison,en altitude la vitesse air est effectivement supérieure, à la vitesse indiquée...
Par conséquent, à vitesse indiquée constante , la pression dynamique reste elle aussi constante.
Le moment de roulis du au braquage des ailerons qui est lié à la pression dynamique devrait donc être indépendant de l'altitude.
Par contre, l'augmentation de la vitesse air doit réduire le moment d'amortissement puisque que pour une même vitesse de roulis la variation d'incidence locale est plus faible.
La vitesse de roulis devrait donc comme tu le signales fort justement, augmenter avec l'altitude !
Splitcat a écrit:Un TB20 en métal est-il assez flexible et rapide pour significativement perdre en efficacité ailerons ?
Mon tuteur de stage m'avait dit que les avions modernes ne souffraient plus de ce problème d'inversion des ailerons.
Gilles131 a écrit:C'est bien pour cela que les ailerons standards sont bloqués à grande vitesse sur les avions de ligne, leur efficacité serait rapidement inversée. L'aileron haute vitesse est placé près de l'emplanture, ou la voilure a beaucoup plus de corde et d'épaisseur, avec en plus beaucoup moins de longueur d'envergure à tordre: elle y est autrement plus raide en torsion!
Pierre H. a écrit:Ai-je mal observé ?
Gilles131 a écrit:Oui, mais...
Un avion, c'est pas que de l'aérodynamique, c'est aussi une structure, qui vit sous les efforts appliqués par les courants d'air (et par les forces d'inertie)
L'effort dû au braquage d'aileron est appliqué beaucoup plus en arrière (grosso modo sur l'axe de charnière) que l'effort d'amortissement (grosso modo au quart de la corde). Si la somme des deux est nulle en roulis à l'équilibre, elle ne l'est absolument pas en torsion. L'aileron baissé tord la voilure dans le sens d'une diminution de l'incidence, ce qui diminue son efficacité (et l'inverse pour l'aileron levé, avec le même résultat).
Ce moment de torsion est proportionnel au carré de l'équivalent-vitesse, et rien ne vient s'y opposer: plus le badin augmente, plus l'efficacité des ailerons diminue! C'est bien pour cela que les ailerons standards sont bloqués à grande vitesse sur les avions de ligne, leur efficacité serait rapidement inversée. L'aileron haute vitesse est placé près de l'emplanture, ou la voilure a beaucoup plus de corde et d'épaisseur, avec en plus beaucoup moins de longueur d'envergure à tordre: elle y est autrement plus raide en torsion!
Pierre H. a écrit:Question / remarque : pour avoir passé des heures à observer des ailes d'A320 en vol depuis mon hublot, je suis certain que les ailerons "standards" (= ailerons en bouts d'ailes) sont bien actifs en croisière, et qu'au contraire, c'est lors de l'approche (basse altitude, basse vitesse), que l'on voit les ailerons situés à l'amplanture s'agiter. D'ailleurs je les ai toujours appelés les ailerons "basse vitesse" !
Tout le contraire de ce que tu dis.
Ai-je mal observé ?
Bee Gee a écrit:
...Tu vois que Half ne dit pas que des conneries ! rires !....
Jean Bossy a écrit:Quant à la mixture, appauvrir légèrement en dessus de 5000 te fera gagner 2 ou 3 % de puissance mais ne soignera pas la longévité du moteur en plein effort.
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