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Les Administrateurs
gma a écrit:C'est vrai que dans ce sujet, plus c'est lourd, plus ça plane loin... Nous en sommes au calcul du longeron !
Faites moi signe quand vous faites le montage de l'hélice.
BastanC6 a écrit:Même pas la rigueur de respecter le sujet original du fil de discussion.
J'imagine même pas comment ça doit être "en l'air" ...
Gabinger a écrit:Plus le sujet est lourd, plus il va loin?
Pour une fois j'ai bon?
Haflinger a écrit:sur une poutre longue et fine travaillant a la flexion la contribution de l'effort tranchant est très faible, quasi négligeable
Gilles131 a écrit:Haflinger a écrit:sur une poutre longue et fine travaillant a la flexion la contribution de l'effort tranchant est très faible, quasi négligeable
Très amusant: c'est l'effort tranchant qui crée le moment de flexion!
Si je ne me retenais pas, j'ajouterais des pages de ricanements. Mais j'ai ma pudeur
Wiky a écrit:Dans la plupart des cas, le moment fléchissant s'accompagne d'un effort tranchant (Ty avec Mfz, Tz avec Mfy). Cela génère de la cission (τxy pour Ty et τxz pour Tz). Cette contrainte de cisaillement ne génère que peu de risque de rupture et est donc généralement négligée (modèle de Bernoulli).
La répartition des contraintes n'est pas uniforme : la contrainte sur une surface libre est nécessairement dans le plan de la surface, donc la cission sur les faces extérieure est nulle. On a donc une cission qui croît lorsque l'on s'approche de la fibre neutre. La contrainte maximale vaut alors, si S est l'aire de la section droite :
On note que la cission est maximale là où la contrainte normale est nulle (à la fibre neutre), et que la contrainte normale est maximale là ou la cission est nulle (sur les faces externes). On n'a donc pas de synergie entre les deux contraintes.
Gilles131 a écrit:Si je ne me retenais pas, j'ajouterais des pages de ricanements. Mais j'ai ma pudeur
robur a écrit: on peut aussi imaginer que le créateur de cette légende envisageait une rupture des ailes au niveau de l’emplanture …
Delépine a écrit:robur a écrit: on peut aussi imaginer que le créateur de cette légende envisageait une rupture des ailes au niveau de l’emplanture …
C'est certainement ce qu'il voulait dire.
Haflinger a écrit:c'est aussi dans Wiky, et ailleurs .....Wiky a écrit:Dans la plupart des cas, le moment fléchissant s'accompagne d'un effort tranchant (Ty avec Mfz, Tz avec Mfy). Cela génère de la cission (τxy pour Ty et τxz pour Tz). Cette contrainte de cisaillement ne génère que peu de risque de rupture et est donc généralement négligée (modèle de Bernoulli).
La répartition des contraintes n'est pas uniforme : la contrainte sur une surface libre est nécessairement dans le plan de la surface, donc la cission sur les faces extérieure est nulle. On a donc une cission qui croît lorsque l'on s'approche de la fibre neutre. La contrainte maximale vaut alors, si S est l'aire de la section droite :
On note que la cission est maximale là où la contrainte normale est nulle (à la fibre neutre), et que la contrainte normale est maximale là ou la cission est nulle (sur les faces externes). On n'a donc pas de synergie entre les deux contraintes.
Haflinger a écrit:l'emplanture est l'endroit le moins sollicite si on souleve l'avion par les saumons
Gilles131 a écrit:Haflinger a écrit:c'est aussi dans Wiky, et ailleurs .....Wiky a écrit:Dans la plupart des cas, le moment fléchissant s'accompagne d'un effort tranchant (Ty avec Mfz, Tz avec Mfy). Cela génère de la cission (τxy pour Ty et τxz pour Tz). Cette contrainte de cisaillement ne génère que peu de risque de rupture et est donc généralement négligée (modèle de Bernoulli).
La répartition des contraintes n'est pas uniforme : la contrainte sur une surface libre est nécessairement dans le plan de la surface, donc la cission sur les faces extérieure est nulle. On a donc une cission qui croît lorsque l'on s'approche de la fibre neutre. La contrainte maximale vaut alors, si S est l'aire de la section droite :
On note que la cission est maximale là où la contrainte normale est nulle (à la fibre neutre), et que la contrainte normale est maximale là ou la cission est nulle (sur les faces externes). On n'a donc pas de synergie entre les deux contraintes.
Ben voyons! Saint-Wiki comme seule référence de dimensionnement des avions...
Je te recommande d'aller voltiger avec un longeron dont les âmes n'ont pas été dimensionnées à l'effort tranchant... ça nous fera des vacances!
Bee Gee a écrit:Une question fondamentale et très importante:
Est ce que si on abaisse fortement le centre de gravité, on augmente la finesse ?
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