Malouines

[denis r-e]

Excellent !

[Daniel DENIS]

Peux tu, stp, nous en dire plus ?

C'est de la fiction ?

Apparemment il y a plusieurs tomes.

[Leon Robin]

Pas lu, mais un bon point d'entrée pour le titre, vu le nombre élevé de gens qui ne savent pas qu'en français, "Falkland" se dit "Malouines", un nom qui renvoie à ceux qui ont découvert l'archipel.

[pfiquet]

Pas lu, mais un bon point d'entrée pour le titre, vu le nombre élevé de gens qui ne savent pas qu'en français, "Falkland" se dit "Malouines", un nom qui renvoie à ceux qui ont découvert l'archipel.

Le nom d'origine, en espagnol étant "Malvinas".

D'autre part, il est bon de savoir que lors de ladite bataille, l'armée argentine à utilisé non seulement des A4 Skyhawk, mais aussi des Mirage III et des Etendard IV

[denis r-e]

Un petit peu plus :
1) c'est une BD
2) je n'ai trouvé à ce jour que le tome 1 (les autres à venir ?)
3) c'est l'histoire de "l'épisode" entre l'Argentine et les anglais vu du côté argentin (dans ce tome vu par le vécu d'un pilote de A4 argentin)
4) je trouve que c'est bien dessiné
5) je trouve que le scénario tient la route (vécu réel ou imaginaire, ça recoupe ce que j'ai pu lire et voir ici ou là sur le sujet)
6) un seul défaut c'est trop vite lu !
7) gros avantage : au fur et à mesure des parutions ça permet de relire depuis le tome 1 et c'est toujours très agréable (testé avec d'autres séries)

[jp trimouille]

Léon et Philippe, je ne parviens pas à accorder vos dires avec l'article Wiki (dont j'ai lu les trois versions Fr, Angl, Esp).
Il semble que les trois noms aient été donnés dans cet ordre chronologique : Falkland, Malouines, Malvinas.

[pfiquet]

Aucune importance en ce qui me concerne.

Je n'ai utilisé le mot "origine" qu'à cause de leur proximité d'un continent où la langue principale est l'espagnol.

Mais si on en croit ceci, tu as raison.

Les îles sont appelées en anglais Falkland Islands. Ce nom date de l'expédition menée par John Strong en 1690, qui nomma les îles d'après son seigneur, Anthony Cary, 5e vicomte de Falkland (une petite ville du sud-est de l'Écosse dans le Fife). Les Espagnols nommèrent l'archipel Islas Malvinas, dérivé du nom français « îles Malouines », donné en 1764 par Louis Antoine de Bougainville, d'après les marins et pêcheurs de Saint-Malo, premiers colons connus de ces îles.

[Hubert Charolles]

D'autre part, il est bon de savoir que lors de ladite bataille, l'armée argentine à utilisé non seulement des A4 Skyhawk, mais aussi des Mirage III et des Etendard IV

Pas d'Etendard IV, mais des Super Étendard. 5 avions livrés (sur 12 commandés), 5 missiles Exocet en stock... Le reste est entré dans l'histoire !

[Julien]

Un petit peu plus :
1) c'est une BD
2) je n'ai trouvé à ce jour que le tome 1 (les autres à venir ?)
3) c'est l'histoire de "l'épisode" entre l'Argentine et les anglais vu du côté argentin (dans ce tome vu par le vécu d'un pilote de A4 argentin)
4) je trouve que c'est bien dessiné
5) je trouve que le scénario tient la route (vécu réel ou imaginaire, ça recoupe ce que j'ai pu lire et voir ici ou là sur le sujet)
6) un seul défaut c'est trop vite lu !
7) gros avantage : au fur et à mesure des parutions ça permet de relire depuis le tome 1 et c'est toujours très agréable (testé avec d'autres séries)

Histoire en plusieurs tomes (je ne sais plus le nombre), écrite par un artiste argentin. Autant dire qu'il dessine avec les tripes, et que cette évocation (me semble qu'on est plus dans la BD historique que dans la parabole, d'après ce qu'on m'a dit) de la Guerre des Malouines a ému/touché/séduit les gens de la collection Paquet chez Cockpit. Parait que c'est beau, juste, prenant ... Une future Référence en BD ...
Je savais pas qu'il était déjà sorti, j'ai hate de l'avoir entre les mains ...

Prochain tome l'année prochaine, comme d'hab avec Paquet (faut dire, ca prend du temps à dessiner tout ca!) ...

[pfiquet]

Bon ben, si vous aimez ce genre là, voilà de quoi occuper vos soirées pour quelques mois

http://www.aeroplanete.net/forum/viewtopic.php?p=18241&sid=b12d46b87b0661dccc466c0a4bc2fbe5

[denis r-e]

[quote="pfiquet"]Bon ben, si vous aimez ce genre là, voilà de quoi occuper vos soirées pour quelques mois

[url]http://www.aeroplanete.net/forum/viewtopic.php?p=18241&sid=b12d46b87b0661dccc466c0a4bc2fbe5[/quote[/url]]


Aïe aïe aïe ! Va falloir économiser !

[toms]

Sur le même sujet:


Une histoire incroyable mais vrai.
Une mission de guerre réalisée par un avion à deux doigts de la retraite.
Très bon.

[toms]

Ca y est, je l'ai lue cette BD, et je confirme, c'est plutôt bon. Les dessins sont très jolis et l'histoire présente une facette moins habituelle.
Juste un peu trop larmoyant à mon goût sur le coté: "tudieu! Mon meilleur ami est mort, quelle connerie la guerre!"
Sinon très bien.

[Hubert Charolles]

Album récompensé du prix du public aux rencontres de la BD aéro ce weekend au Bourget. Les auteurs, présents, ont également reçu le prix de la mise en couleur.

Prix du meilleur dessin attribué à Philippe Abbet pour "Luftgaffe" chez Zéphyr et le Grand Prix a été attribué à FAFL tome 1, opération Dynamo, également chez Zéphyr.

d'autres infos ici :

http://www.aerobuzz.fr/spip.php?article1186

On peut noter que l'absence d'un nouvel album de Romain Hugault a donc permit d'ouvrir un peu le palmarès mais que bien des auteurs de talents n'ont toujours jamais rien reçu. Il serait temps aussi que Bergèse reçoive un prix pour l'ensemble de son oeuvre, ça serait plutôt mérité.

Mais, sous l'impulsion de Gil Roy, cette manifestation reste un agréable moment, convivial et sympathique...

[mike3fois]

Excellent opuscule chez osprey, qualité anglaise.
Un petit bout traduit vite fait :

La fiabilité du Sea Harrier et sa capacité à opérer en conditions dégradées fut une des bonnes nouvelles du conflit. Le Hermès avait régulièrement 13 avions sur 14 disponibles au début de la journée, dont 10 étaient encore opérationnels le soir, après 45 sorties. Les opérations n’étaient jamais annulées en raison de l’état de la mer. En raison des manœuvres d’évasion anti sous-marine du bateau, les appareils devaient opérer par des vents de travers bien au dessus des limites du temps de paix, se posant en travers du bateau ou même vers l’arrière. Il y eut des récupérations jusqu’à 200m de visi et 30m de plafond, l’appareil étant guidé par des torches jetées depuis la proue. Les pilotes eurent parfois à faire la transition vers le stationnaire sans même voir le bateau, bien que cela fût sobrement mais fermement qualifié de « situation à hauts risques ».