Un tour à Tours
Posté: Samedi 25 Juin 2022 12:04
Hier après-midi, après une semaine d'orages et une analyse poussée météo, j'ai fait un aller-retour Montpellier-Tours, comme "copi" à l'aller et seul au retour.
En attendant la décroissance, 5 heures de vol IFR intense et fatiguant avec l'âge sur Cirrus SR22 ("Certes, voler tout seul à bord d'une machine puissante suréquipée pour faire du local peut être vu comme l'expression d'un ego mal placé, surtout dans le contexte actuel", citation d'un post en débat actuellement). Là, c'est pas du local, 600NM pour l'après-midi.
La météo du matin est rédhibitoire:
Pour l'après-midi, le sommet des nuages est donné à peu près au FL100.
Le départ au 70 est vite insuffisant:
et on continue avec le 110:
L'approche RNP20 est crapoteuse:
Au sol, après le plein, le slot alloué pour le retour est 2h après le demandé , alors on regarde passer les avions, un commercial puis l'Air Force Hongroise:
Notre demande de "Ready" au contrôle restant caduque, un appel au-secours au BNIA de Bordeaux, toujours efficace et aimable, nous fait gagner une heure.
Le début est plutot cool au 90:
mais avant le Massif Central, il faut monter au 120, avec de belles couches à la lumière:
avec un peu d'oxygène, on se fait vieux:
et des directes bien venues ( presque LMG -> FJR Limoges-Montpellier):
L'arrivée sur Montpellier, où il fait toujours beau :
Pas faisable en CNRA 60 CV, mais pourtant aussi de la petite aviation.
En attendant la décroissance, 5 heures de vol IFR intense et fatiguant avec l'âge sur Cirrus SR22 ("Certes, voler tout seul à bord d'une machine puissante suréquipée pour faire du local peut être vu comme l'expression d'un ego mal placé, surtout dans le contexte actuel", citation d'un post en débat actuellement). Là, c'est pas du local, 600NM pour l'après-midi.
La météo du matin est rédhibitoire:
Pour l'après-midi, le sommet des nuages est donné à peu près au FL100.
Le départ au 70 est vite insuffisant:
et on continue avec le 110:
L'approche RNP20 est crapoteuse:
Au sol, après le plein, le slot alloué pour le retour est 2h après le demandé , alors on regarde passer les avions, un commercial puis l'Air Force Hongroise:
Notre demande de "Ready" au contrôle restant caduque, un appel au-secours au BNIA de Bordeaux, toujours efficace et aimable, nous fait gagner une heure.
Le début est plutot cool au 90:
mais avant le Massif Central, il faut monter au 120, avec de belles couches à la lumière:
avec un peu d'oxygène, on se fait vieux:
et des directes bien venues ( presque LMG -> FJR Limoges-Montpellier):
L'arrivée sur Montpellier, où il fait toujours beau :
Pas faisable en CNRA 60 CV, mais pourtant aussi de la petite aviation.