Re: Cessna 337
Posté: Mardi 24 Décembre 2019 11:50
En fait ce genre de généralisation (dans les deux sens) ne signifie pas grand chose.
Seuls les chiffres comptent. En l'occurrence le taux de panne par heure de vol.
Parce qu'on trouvera toujours quelqu'un qui a volé sans problème sur un C65 de 5000 h (moi par exemple) et un autre qui a une une panne au décollage avec un C65 de 1500 h (en fait pas un autre, toujours moi!).
Et depuis j'ai continué à voler avec des Continental (C65, C90, O200), des Lycoming (O320, O360), des Rotax (80 et 100 CV), des Jabiru, des VW.
Avec des petits soucis, conso d'huile, chauffe excessive, perte d'une magnéto, ratés moteur, etc ... mais rien de bien dramatique.
Le facteur chance joue, mais ça n'empêche pas d'adopter quelques règles de base.
Evidemment une bonne prévol.
Respecter le temps de chauffe, surtout en hiver, même si ça paraît longuet.
Bien remplir les réservoirs avec la bonne essence.
Surveiller la consommation d'huile.
Faire les vidanges au bon moment. Surveiller la propreté des bougies et les changer régulièrement.
Et c'est vrai quelque soit le type de moteur.
J'ai un gros moteur sur ma Suzie, refroidi par huile, Paraît que c'est pas l'idéal.
Et croyez-moi, je tape dedans. Mais j'attends qu'il soit chaud, et je l'entretiens selon les préceptes précités.
Il vient de passer les 100 000 km, dans des conditions très difficiles (pour moitié dans les bouchons de la région parisienne, pour moitié à grande vitesse).
Selon un pote motociste, c'est exceptionnel. En fait, je pense que c'est simplement une question d'usage et d'entretien. Toutes mes voitures ont largement dépassé les 200 000 km (le régime n'a rien à voir bien sûr, 12 000 tr/min contre 5000 tr/min), sans problème consommation d'huile et de fonctionnement général.
Seuls les chiffres comptent. En l'occurrence le taux de panne par heure de vol.
Parce qu'on trouvera toujours quelqu'un qui a volé sans problème sur un C65 de 5000 h (moi par exemple) et un autre qui a une une panne au décollage avec un C65 de 1500 h (en fait pas un autre, toujours moi!).
Et depuis j'ai continué à voler avec des Continental (C65, C90, O200), des Lycoming (O320, O360), des Rotax (80 et 100 CV), des Jabiru, des VW.
Avec des petits soucis, conso d'huile, chauffe excessive, perte d'une magnéto, ratés moteur, etc ... mais rien de bien dramatique.
Le facteur chance joue, mais ça n'empêche pas d'adopter quelques règles de base.
Evidemment une bonne prévol.
Respecter le temps de chauffe, surtout en hiver, même si ça paraît longuet.
Bien remplir les réservoirs avec la bonne essence.
Surveiller la consommation d'huile.
Faire les vidanges au bon moment. Surveiller la propreté des bougies et les changer régulièrement.
Et c'est vrai quelque soit le type de moteur.
J'ai un gros moteur sur ma Suzie, refroidi par huile, Paraît que c'est pas l'idéal.
Et croyez-moi, je tape dedans. Mais j'attends qu'il soit chaud, et je l'entretiens selon les préceptes précités.
Il vient de passer les 100 000 km, dans des conditions très difficiles (pour moitié dans les bouchons de la région parisienne, pour moitié à grande vitesse).
Selon un pote motociste, c'est exceptionnel. En fait, je pense que c'est simplement une question d'usage et d'entretien. Toutes mes voitures ont largement dépassé les 200 000 km (le régime n'a rien à voir bien sûr, 12 000 tr/min contre 5000 tr/min), sans problème consommation d'huile et de fonctionnement général.