Nous sommes ravis de vous accueillir sur le forum des pilotes privés.
Vous êtes sur un forum de discussions public, permettant aux pilotes privés, mais aussi à tous les passionnés des choses de l'air, d"échanger leurs idées, leurs expériences, leurs questions.
S'il s'agit de votre premier accès à ce site et que vous n'avez pas créé de pseudonyme, votre accès est restreint. Vous devez obligatoirement vous enregistrer avant de pouvoir accéder à la totalité des rubriques, et apporter vos contributions. L'enregistrement ne prend que quelques secondes.
Pour cela, cliquez sur l'option "M'enregistrer " dans le menu à droite ci-dessus.
Si vous possédez déjà un identifiant, indiquez-le dans la zone de saisie ci-dessous.
Nous vous remercions pour votre compréhension, et vous souhaitons de passer de bons moments sur le Forum des Pilotes Privés.
Les Administrateurs
Jan Tutaj a écrit:Excellent article.
En gros, on ne traite pas un problème de fond de cellule, de hardware, par un apport de software.
Boeing a poussé le bouchon trop loin, ce n'est plus un 737, c'est un autre avion et il fallait le re-certifier comme tel.
Il y a tellement à dire sur certaines nouvelles technologies, censées aider les pilotes "infirmes" à appréhender le pilotage.
Splitcat a écrit:Cela dit, on parle d'un avion qui était instable lors du décrochage.
Splitcat a écrit:Jan Tutaj a écrit:Excellent article.
En gros, on ne traite pas un problème de fond de cellule, de hardware, par un apport de software.
Boeing a poussé le bouchon trop loin, ce n'est plus un 737, c'est un autre avion et il fallait le re-certifier comme tel.
Il y a tellement à dire sur certaines nouvelles technologies, censées aider les pilotes "infirmes" à appréhender le pilotage.
Etre pilote d'essais chez Boeing, en somme
Gilles131 a écrit:Splitcat a écrit:Cela dit, on parle d'un avion qui était instable lors du décrochage.
Pas vraiment: on y parle d' "instabilité dynamique", pas de la stabilité statique que recouvre communément l'appellation "stabilité" .
Il s'agit si j'ai bien compris de pitch-up, c'est-à-dire de non-linéarité des efforts, et non pas de la stabilité proprement dite.
Splitcat a écrit:S'il faut toujours un effort à cabrer pour aller chercher des alpha supérieurs, mais que cet effort est moindre, ça veut dire que l'avion repartirait à piquer si on le lâchait : c'est un comportement non acceptable par la certif mais on peut quand même le qualifier de stable
Splitcat a écrit:J'aimerais bien constater par moi même le degré d'inacceptabilité de l'avion sans MCAS.
Philippe Warter a écrit: double débrayage obligatoire pour repasser la première en roulant.
Delépine a écrit:C'est singulier ; je suis bien plus âgé et je n'ai pas rencontré cette vieille particularité dont j'avais à peine entendu parler. Quelles voitures ? A partir desquelles n'a-t-on plus eu cela ?Philippe Warter a écrit: double débrayage obligatoire pour repasser la première en roulant.
Gilles131 a écrit:Splitcat a écrit:S'il faut toujours un effort à cabrer pour aller chercher des alpha supérieurs, mais que cet effort est moindre, ça veut dire que l'avion repartirait à piquer si on le lâchait : c'est un comportement non acceptable par la certif mais on peut quand même le qualifier de stable
C'est bien ce que je veux dire.Splitcat a écrit:J'aimerais bien constater par moi même le degré d'inacceptabilité de l'avion sans MCAS.
Au nom de quelle compétence?
Tu veux expliquer l'aviation aux pilotes d'essais de Boeing?
Philippe Warter a écrit:La réponse est évidente....J'ai eu un chef-pil qui a commencé en DC3, et qui a terminé sa carrière sur 747. Avec toutes les machines ayant jalonné cette période.
Il a bien fallu qu'il s'adapte à ses montures successives.
Moyennant des formations complémentaires, des QT, etc ...
Retourner vers En l'air, autour de ce qui vole
Utilisateurs parcourant ce forum: cda, Google [Bot], pco et 446 invités