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Les Administrateurs
rallye a écrit:Combien de pilotes voyagent et pourquoi ?
Marc B a écrit:Tu peux aussi avoir un peu des deux, de l'humain et du pratique à défaut.
Cet été je me suis fait des copains sur une plateforme ULM dans un coin perdu de Suède avec qui j'ai gardé des contacts qui vont probablement encore servir cette année. Ceci pour dire que c'est très chouette de voler là-bas.
A Stockholm, j'ai utilisé Uber car il était grand temps de partir pour cause MTO analysée au petit dej avec mes outils préférés sur un coin de table en faisant le FPL dans la foulée.
Bref, on utilise l'arme la plus appropriée du moment car pas de tour là où je me pose en général, et donc, pas de papote avec les contrôleurs locaux, mais bien avec les pilotes locaux.
Ni geek, ni à l'ancienne, mais un peu des deux … et ça marche très bien.
Marc
Aviathor a écrit:Bee Gee a écrit:Tout simplement parce que des gens utilisent de plus en plus le GPS sans toujours vraiment savoir s'en servir et sans vraiment maitriser les bases même de la navigation, parmi eux certains se lancent dans des navs qu'ils n'auraient sans doute pas osés faire auparavant. Il faut pour cela une formation complémentaire que doivent assurer les écoles et aéro-club en post PPL, en englobant tout cela dans un pré-IFR par exemple. 40 heures c'est ridiculement trop insuffisant pour former un pilote sensé être capable de naviguer partout en Europe.
Le principal problème que soulève cette étude, est que les pilotes sont induits à croire qu'ils peuvent réaliser des vols dans des conditions météorologiques dégradées grâce à ce nouveau moyen de navigation, et que la réalité du relief les rattrappe.Et c'est surtout dans cette phase que la simulation de vol grand publique peut apporter énormément de choses, dommage que la plupart des instructeurs n'ont pas compris un fait aussi simple que celui là.
Je pense que la "simulation de vol grand publique" peut avoir un peu le même effet que le GPS. Ca peut induire certains à penser qu'ils maîtrisent des conditions pour lesquelles ils n'ont pas été formés, juste parce qu'ils ont réussi à faire un ILS sur FS2000.
Philippe Warter a écrit:.............. Du coup, les aficionados traînaient rue de la Boétie, ..................
Bee Gee a écrit:ils appliquent les procédures des avions de ligne, et même s'ils n'ont jamais volé en réel de leur vie, je te garantis que si tu les mettais à bord d'un Boeing777 seul en poste au milieu de l'Atlantique, ils seraient tout à fait capable de ramener l'avion à bon port.
Gilles131 a écrit:Bee Gee a écrit:ils appliquent les procédures des avions de ligne, et même s'ils n'ont jamais volé en réel de leur vie, je te garantis que si tu les mettais à bord d'un Boeing777 seul en poste au milieu de l'Atlantique, ils seraient tout à fait capable de ramener l'avion à bon port.
Ca, c’est une vaste farce.
Il est incontestable que le simu est un excellent instrument pédagogique qui permet d’économiser des heures de vol.
Mais ce n’est qu’une machine à reproduire des gestuels ou des procédures, rien de plus. Et malgré les millions d’investissements pour rendre les simus professionnels “réalistes”, ils ne peuvent pas, et ne pourrons jamais, reproduire les sensations du vol. Et pour une raison simple et évidente: pour le faire il faudrait qu’ils se déplacent comme l’avion!
On a tous connu d’excellents instructeurs simu qui, une fois dans l’avion, étaient incapables de simplement le faire rouler, terrifiés par l’environnemet réel.
xtreme a écrit:En hélico, je ne vole que VFR, à 500ft sol la plupart du temps en plaine le risque de collision est faible. Quand la météo crapaute, on se pose au bord de la route pour regarder les panneaux Michelin. Mais par beau temps on est au balcon...
thiev a écrit:En cas de panne Ipad, il nous reste 2 iphones avec GPS dans l'hélico mais avec tout de même la carte papier accessible
arogues a écrit:Beegee n'a que dit de ramener à bon port, pas d'opérer de A à Z (en passant par les pannes, CDL/MEL, ...) en équipage selon les procédures... Et je pense vraiment comme lui.
Bien sur ce n'a jamais été essayé (que dans des FFS et cela appuie les propos de Beegee...).
Mais bien sur, pour un pilote de ligne cela pourrait (mais ne devrait pas) être pris comme réducteur.
Gilles131 a écrit:....... On peut penser ce qu’on veut, bien sûr. Mais il y a ceux qui pensent, et ceux qui savent. Pas pareil...
Gilles131 a écrit:
J’ai souvent terminé mes séances de simu par un décollage avec montée à 1500 ft en rentrant les traînées tout en ouvrant pour un retour par demi-tour sur axe, passage sous la tour à la VMO, ressource avec un superbe tonneau et réduction complète le nez dans le ciel. Basculement d’assiette vers celle de plané, demi-tour et PTS en ressortant les traînées, tout réduit jusqu’à l’atterrissage sur le taxiway.
Ça marche super bien, que ce soit en 320 ou en 747. Mais si je le fais au simu, je ne le ferai bien évidemment jamais dans l’avion. Parce que, précisément, le simu n’est pas l’avion. Loin de là.
...
FbS a écrit:Sans compter que je suis prêt a parier que les premières fois ou tu l'as fait dans le simu, tu as cassé l'avion...
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