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Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Dimanche 17 Juin 2018 19:05
de Leon Robin
"200000 € injectés ...." ... soit 30000 € pour Wingly (15% de commission sur le prix payé par les passagers).
d'après ce que j'ai cru comprendre, les passagers payent à Wingly qui rétrocède sa "part" au pilote. Etant ignare en fiscalité, je me demande comment tout cela se passe du point de vue TVA. Bon, moi ne n'y connais rien, mais il y a par ailleurs des spécialistes très versés sur la question. Si quelqu'un a des lumières là-dessus ...........

Pour les clubs, je souhaite me tromper, mais je crains un douloureux réveil fiscal pour quelques uns dans un proche avenir

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Dimanche 17 Juin 2018 19:09
de Bob
Leon Robin a écrit:Pour les clubs, je souhaite me tromper, mais je crains un douloureux réveil fiscal pour quelques uns dans un proche avenir



Mais non, Léon, relis bien ce que certains t'ont expliqué !
Tu n'as rien compris ! Je pense que ça vient du fait que tu n'as aucune expérience de fonctionnement d'un club... Image Image Image

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Dimanche 17 Juin 2018 22:37
de hugomoto
Moi, ce que je comprends, c'est que la relation financière est entre Wingly, le Pilote et le passager.
Le club ne me semble pas être dans la boucle.
Est-ce que je me trompe ?
PRECISION : je ne parle là que de le relation financière.

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Lundi 18 Juin 2018 07:10
de Aviathor
hugomoto a écrit:Moi, ce que je comprends, c'est que la relation financière est entre Wingly, le Pilote et le passager.
Le club ne me semble pas être dans la boucle.
Est-ce que je me trompe ?
PRECISION : je ne parle là que de le relation financière.


Tu as entièrement raison.

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Lundi 18 Juin 2018 07:19
de Tontonlyco
L'avion sur batterie et Wingly, encore deux conneries de la FFA

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Dimanche 8 Juillet 2018 22:40
de charlie*

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Dimanche 8 Juillet 2018 23:52
de gma
Pilote professionnel depuis 2012 c'est CPL ou ATPL ?...

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Lundi 9 Juillet 2018 12:12
de Luc Lion
Pilote professionnel, c'est CPL ou plus.

Par ailleurs, le rapport mentionne une expérience de 337 heures de vol
Et le PART-FCL dit:
(b) Experience. Applicants for an ATPL(A) shall have completed a minimum of 1 500 hours of flight
time in aeroplanes, including at least: ...


Luc

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Lundi 9 Juillet 2018 12:18
de Richard78
Il y a deux sortes de pilotes, ceux qui ont atterri sur le ventre et ceux qui ne l’ont pas encore fait ...
Il a simplement changé de catégorie, comme le dit fort justement Delépine, il est en train de devenir un vrai pilote Image
Puis, il n’y a eu de blessé que son amour-propre !!

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Lundi 9 Juillet 2018 12:41
de FbS
Richard78 a écrit:Il y a deux sortes de pilotes, ceux qui ont atterri sur le ventre et ceux qui ne l’ont pas encore fait ...
Il a simplement changé de catégorie, comme le dit fort justement Delépine, il est en train de devenir un vrai pilote Image
Puis, il n’y a eu de blessé que son amour-propre !!


Et son portefeuille aussi...(tarif double sur bimoteur : 2 hélices, 2 VNIP...)

Une chance que j'ai eu et qu'il n'a pas eu lui, c'est que j'ai fait la connerie en planeur...

Maintenant, il saura qu'il faut "préparer" sa machine et aller au bout des choses en vérifiant les 3 vertes, et refaire une check list courte finale a voix haute pour le revérifier......Et que si il descendait sur le plan plus vite que d'habitude, c'est que les godasses n'étaient pas sorties...

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Mercredi 21 Novembre 2018 09:37
de Aviathor
Un article sur AeroBuzz nous apprend que le co-avionnage en France se porte bien, que 80 aéroclubs ont déjà rejoint les rangs des partenaires de Wingly, et que 100 autres sont en réflexion.

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Mercredi 21 Novembre 2018 11:24
de Leon Robin
Aviathor a écrit:Un article sur AeroBuzz nous apprend que le co-avionnage en France se porte bien, que 80 aéroclubs ont déjà rejoint les rangs des partenaires de Wingly, et que 100 autres sont en réflexion.

L'auteur nous avait habitué à des articles plus nuancés exposant les différents aspects et points de vue. Ce n'est pas vraiment le cas dans celui-ci.
Selon cet article ".....  Ce sont plus exactement, à fin août 2018, 1,1 million d’euros qui ont directement été investi dans le secteur de l’aviation légère sur des heures de vol qui n’auraient pas eu lieu sans Wingly ....".
Vu sous un autre angle, cela signifie aussi que ces vols ont rapporté 150000 euros à la plateforme de co-avionnage qui prélève 15% sur la part payée par les passagers.

On y lit aussi "....il y a une demande en interne venant d’un petit groupe de pilotes. ....... ...........Dans les faits, le coavionnage au sein du club est généralement l’affaire d’un noyau de pilotes..........Il y a aussi ceux qui n’ont d’autre but que de voler le plus possible, quelque soit leur âge.  .......".
L'essentiel est écrit. Dans les faits, on constate que les "quelques pilotes demandeurs" sont aussi ceux qui ne lèvent jamais le petit doigt bénévolement pour le club. Membres de l'association ou clients qui louent un avion pour emmener leurs propres clients ?

Je rappelle à toutes fins utiles qu'une association est basée sur le bénévolat, et non sur l'intérêt particulier de tel ou tel .... ni d'un "petit noyau". J'ai toujours dit et écrit que l'engagement bénévole ne peut pas - et ne doit pas - être utilisé au profit d'activités étrangères à l'association.

Sur un autre plan, je m'interroge sur les ofrres publiées, qui dans certains cas s'apparentent à un catalogue de prestations en ligne. Que devient là-dedans la fameuse "règle des 4 P", base de l'exonération de TVA et impôts commerciaux pour les associations à but non lucratif ?

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Mercredi 21 Novembre 2018 14:20
de Splitcat
Réveillez-vous, les clubs ont toujours profité à un petit noyau, ceux qui se donnent la peine de s'investir et s'intéresser.
Le fait qu'un second noyau puisse profiter de la structure existante, et ramener du CA, au passage, n'est pas une mauvaise chose.

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Mercredi 21 Novembre 2018 14:55
de Leon Robin
Splitcat a écrit:Réveillez-vous, les clubs ont toujours profité à un petit noyau, ceux qui se donnent la peine de s'investir et s'intéresser.

Le fait qu'un second noyau puisse profiter de la structure existante, et ramener du CA, au passage, n'est pas une mauvaise chose.

Tu parles de ce que tu connais, moi aussi. D'évidence, nous n'évoluons pas dans la même sphère. Je ne m'en plaindrai pas, chacun ses valeurs. Les clubs que j'ai connus depuis que je vole (à peine plus de 55 ans) font partie de ceux où le "petit noyau de ceux qui se donnent la peine de s'investir et s'intéresser" (nous sommes d'accord là-dessus) ne profite de rien de plus que les autres membres, si l'on excepte le temps passé et une quantité indéterminée d'€€ dépensés qui au final auraient pu servir à payer quelques hdv sans rien faire.
Pas question de s'en plaindre, tant qu'on ne vient pas - en plus - demander d'entrer dans une logique incompatible avec l'éthique du bénévolat (la mienne entre autres). Appelez cela comme vous voulez, mais c'est le choix de chacun. Ne vous étonnez pas si un jour les bénévoles vous laissent vous demm....r seuls.

Re: Co-avionnage - suite

MessagePosté: Mercredi 21 Novembre 2018 15:55
de Manu
"sur des heures de vol qui n’auraient pas eu lieu sans Wingly ....".
C'est bien affirmatif ça... On peut savoir comment ils en sont arrivés à cette conclusion ? Ils ont interrogé chaque pilote qui leur a certifié que sans Wingly il ne serait pas allé voler quand même ?

On nous a répété que le principe du coavionnage c'était de faire profiter les places libres à autrui moyennant participation aux frais du vol, pas que c'était d'organiser des vols payants spécifiques.

M'enfin c'que j'en dis (Jeff, je t'envoie le chèque pour les royalties dès ce soir).

Manu