Au sujet de l'amélioration nos aéroclubs...

[Mousquetaire]

Désolé, mais un avion "train classique" a l'avantage d'avoir moins de trainée et donc d'aller plus vite avec la même puissance qu'un équivalent "tricycle"!

[Richard78]

Train rentrant c'est encore mieux...

Je sors

[Matthias]

Le motoplaneur c'est demi train classique et rentrant ! belle synthèse... je soutien JAimeLesMotoplaneurs

[Richard78]

Dans le hangar où est mon avion, il y a un modèle allemand, je ne sais plus lequel, avec une hélice dans le cône de nez, rétractable en version côte à côte, vraiment superbe.
Les ailes aussi sont rétractables.

[Leon Robin]

Il fut un temps où de nombreux clubs avion avaient un motoplaneur, généralement un RF3 ou l'un de ses successeurs ou dérivés. Des monoplaces, donc n'entrant pas directement dans le cas présent. Les équivalents biplaces ont toujours été rares. Pourquoi ?

Dans les clubs, le choix des avions se fait aussi selon des critères qui ne sont pas directement liés au plaisir de pilotage ou aux voeux des utilisateurs. C'est souvent basé sur des critères d'exploitation ou de gestion :
- offre sur le marché (neuf ou occasion). Le motoplaneur biplace immatriculé avion est une espèce plutôt rare.
- entretien et disponibilité des pièces
- nécessité d'un instructeur planeur ou tout au moins vélivole avec une bonne expérience. Vous en connaissez beaucoup dans ce cas en club de nos jours ?

Hormis ces considérations, il ne faut pas négliger le gouffre qui sépare les voeux et les rêves des membres de club et la réalité, une fois l'avion acheté. La décision d'un club est le plus souvent basée sur tous ces points, pour éviter de se retrouver avec un avion que tout le monde voulait mais que personne - ou trop peu - n'utilise

[Bob]

"Seul" problème, il y a très peu d'instructeurs qualifiés TMG ! Notamment parce qu'il y a encore moins de testeurs TMG !

[Gilles131]

Train rentrant c'est encore mieux...

Pas forcément...
Voir, encore et toujours, l'indispensable "Speed with Economy" de Kent Paser.

[JAimeLesAvions]

"Seul" problème, il y a très peu d'instructeurs qualifiés TMG !

C'est un problème soluble!

[Richard78]

Train rentrant c'est encore mieux...

Pas forcément...
Voir, encore et toujours, l'indispensable "Speed with Economy" de Kent Paser.

Là tu es dur, laisse-moi quelques illusions


Speed with economy, c'est un livre I presume ?

[Richard78]

Un petit résumé :

http://www.eaa393.org/Presentations/Sco ... er2006.pdf

[Mousquetaire]

Il fut un temps où de nombreux clubs avion avaient un motoplaneur, généralement un RF3 ou l'un de ses successeurs ou dérivés. Des monoplaces, donc n'entrant pas directement dans le cas présent. Les équivalents biplaces ont toujours été rares. Pourquoi ?

Dans les clubs, le choix des avions se fait aussi selon des critères  qui ne sont pas directement liés au plaisir de pilotage ou aux voeux des utilisateurs. C'est souvent basé sur des critères d'exploitation ou de gestion :
   - offre sur le marché (neuf ou occasion). Le motoplaneur biplace immatriculé avion est une espèce plutôt rare.
   - entretien et disponibilité des pièces
   - nécessité d'un instructeur planeur ou tout au moins vélivole avec une bonne expérience. Vous en connaissez beaucoup dans ce cas en club de nos jours ?

Hormis ces considérations, il ne faut pas négliger le gouffre qui sépare les voeux et les rêves des membres de club et la réalité, une fois l'avion acheté. La décision d'un club est le plus souvent basée sur tous ces points, pour éviter de se retrouver avec un avion que tout le monde voulait mais que personne - ou trop peu - n'utilise

Oui, il fut un temps ou.... les aéroclubs possédaient une grande variété d'aéronefs, ce qui permettait aux membres de voler sur des avions différents et enrichissant pour le pilotage. Ils avaient un but!

Aujourd'hui c'est du quasi monotype! Un club qui a, par exemple, la gamme ROBIN du 120 au 180 ch et rien d'autre à proposer, fait que les membres finissent par s'ennuyer et arrêtent de pratiquer, ou s'achètent un avion différent qui leur apporte plus de plaisir.

[Leon Robin]

........ Oui, il fut un temps ou.... les aéroclubs possédaient une grande variété d'aéronefs, ce qui permettait aux membres de voler sur des avions différents et enrichissant pour le pilotage. Ils avaient un but!......

Tu m'accorderas qu'il était alors moins difficile d'entretenir cette variété. Le moule "Véritas" d'alors, tout contraignant qu'il était réputé être, n'avait rien à voir avec le carcan réglementaire actuel.
"Avant", c'était bon si fait dans les règles de l'art, qui faisaient loi. Aujourd'hui, point de salut si la paperasse n'a pas prévu le cas.

........  Ils avaient un but!......

Aujourd'hui encore, mais il a changé. C'est maintenant "survivre à la réglementation"

[hugomoto]

Dans le hangar où est mon avion, il y a un modèle allemand, je ne sais plus lequel, avec une hélice dans le cône de nez, rétractable en version côte à côte, vraiment superbe.
Les ailes aussi sont rétractables.

.... en vol ?

[chibani]

Le président d un club ou j etais, très bien d ailleurs, voulait une flotte homogène. Réflex d ex cdt AF  mais aussi logique car passer d un avion a l autre en sécurité demande plus de 12 hdv par an.

Il fut un temps où de nombreux clubs avion avaient un motoplaneur, généralement un RF3 ou l'un de ses successeurs ou dérivés. Des monoplaces, donc n'entrant pas directement dans le cas présent. Les équivalents biplaces ont toujours été rares. Pourquoi ?

Dans les clubs, le choix des avions se fait aussi selon des critères  qui ne sont pas directement liés au plaisir de pilotage ou aux voeux des utilisateurs. C'est souvent basé sur des critères d'exploitation ou de gestion :
   - offre sur le marché (neuf ou occasion). Le motoplaneur biplace immatriculé avion est une espèce plutôt rare.
   - entretien et disponibilité des pièces
   - nécessité d'un instructeur planeur ou tout au moins vélivole avec une bonne expérience. Vous en connaissez beaucoup dans ce cas en club de nos jours ?

Hormis ces considérations, il ne faut pas négliger le gouffre qui sépare les voeux et les rêves des membres de club et la réalité, une fois l'avion acheté. La décision d'un club est le plus souvent basée sur tous ces points, pour éviter de se retrouver avec un avion que tout le monde voulait mais que personne - ou trop peu - n'utilise

Oui, il fut un temps ou.... les aéroclubs possédaient une grande variété d'aéronefs, ce qui permettait aux membres de voler sur des avions différents et enrichissant pour le pilotage. Ils avaient un but!

Aujourd'hui c'est du quasi monotype! Un club qui a, par exemple, la gamme ROBIN du 120 au 180 ch et rien d'autre à proposer, fait que les membres finissent par s'ennuyer et arrêtent de pratiquer, ou s'achètent un avion différent qui leur apporte plus de plaisir.

[Mousquetaire]

........ Oui, il fut un temps ou.... les aéroclubs possédaient une grande variété d'aéronefs, ce qui permettait aux membres de voler sur des avions différents et enrichissant pour le pilotage. Ils avaient un but!......

Tu m'accorderas qu'il était alors moins difficile d'entretenir cette variété. Le moule "Véritas" d'alors, tout contraignant qu'il était réputé être, n'avait rien à voir avec le carcan réglementaire actuel.
"Avant", c'était bon si fait dans les règles de l'art, qui faisaient loi. Aujourd'hui, point de salut si la paperasse n'a pas prévu le cas.

........  Ils avaient un but!......

Aujourd'hui encore, mais il a changé. C'est maintenant "survivre à la réglementation"

Nous sommes dans une époque où tout doit être normalisé, calibre , aseptisé. Les réglementations vont dans ce sens pour notre sécurité et notre ... bonheur !!!