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Gilles131 a écrit:Environ 250 kt.
Retour de Boston en 4h40, en volant à la vitesse mini.
Splitcat a écrit:Gilles131 a écrit:Environ 250 kt.
Retour de Boston en 4h40, en volant à la vitesse mini.
Les passagers se sont-ils plaint d'être arrivé trop en avance ?
XrayPapa a écrit:M = Vp / c
Vp et non Vs.
Essayer d’induire en erreur des gens qui ne maîtrisent pas bien le sujeten les noyant dans des formules, et, ensuite en leur suggérant qu’un avion de ligne subsoniquepasse en supersonique avec un fort vent dans le cul est, à mon humble avis, pour le moins antiscientifique. A bon entendeur.
Gilles131 a écrit: (avec un écart de 1° de latitude pour éviter la division par zéro des calculateurs de navigation - Tilt! -), redescendre plein Sud sur le Spitzberg puis Trondheim et faire de grands S sur l'Europe du Nord pour ne pas arriver trop tôt. Evidemment, au milieu de la nuit les contrôleurs nordiques nous donnaient systématiquement d'immenses directes sur l'arrivée, que nous étions obligés de refuser poliment (as filed, please) pour ne pas arriver trop tôt. On a même vu des vols redescendre jusqu'à Barcelone avant de remonter sur CDG!
On faisait ainsi le vol en 15 heures au lieu de 12, mais les passagers pouvaient sortir de l'aérogare à l'arrivée, et cela coûtait 100 000 F de moins que la solution précédente, qui consistait à s'arrêter à Moscou pour y perdre du temps. Les passagers détestaient cela car il fallait les réveiller, qu'on leur avait vendu un vol "direct" et qu'on s'arrêtait en route (Mais, monsieur, on ne vous a pas vendu un vol "non-stop"!), il fallait mettre en place un équipage pour ramener l'avion à Paris car le premier arrivait en butée réglementaire avec les deux étapes et quelques heures de béton, et il fallait transporter depuis Tokyo une trentaine de tonnes de carburant pour le deuxième tronçon car on ne pouvait pas ravitailler à Moscou au milieu de la nuit, ce qui augmentait de 8 à 9 tonnes le carburant consommé.
Pas très écolo, tout ça, mais commercial!
Gilles131 a écrit:T'énerve pas, XP, c'était bien évidemment pas du premier degré!
Et on n'a noyé personne, la seule formule du sujet, c'est la tienne.
D'un point de vue scientifique, tu as tout-à-fait raison, bien sûr.
Splitcat a écrit:Gilles131 a écrit: (avec un écart de 1° de latitude pour éviter la division par zéro des calculateurs de navigation - Tilt! -), redescendre plein Sud sur le Spitzberg puis Trondheim et faire de grands S sur l'Europe du Nord pour ne pas arriver trop tôt. Evidemment, au milieu de la nuit les contrôleurs nordiques nous donnaient systématiquement d'immenses directes sur l'arrivée, que nous étions obligés de refuser poliment (as filed, please) pour ne pas arriver trop tôt. On a même vu des vols redescendre jusqu'à Barcelone avant de remonter sur CDG!
On faisait ainsi le vol en 15 heures au lieu de 12, mais les passagers pouvaient sortir de l'aérogare à l'arrivée, et cela coûtait 100 000 F de moins que la solution précédente, qui consistait à s'arrêter à Moscou pour y perdre du temps. Les passagers détestaient cela car il fallait les réveiller, qu'on leur avait vendu un vol "direct" et qu'on s'arrêtait en route (Mais, monsieur, on ne vous a pas vendu un vol "non-stop"!), il fallait mettre en place un équipage pour ramener l'avion à Paris car le premier arrivait en butée réglementaire avec les deux étapes et quelques heures de béton, et il fallait transporter depuis Tokyo une trentaine de tonnes de carburant pour le deuxième tronçon car on ne pouvait pas ravitailler à Moscou au milieu de la nuit, ce qui augmentait de 8 à 9 tonnes le carburant consommé.
Pas très écolo, tout ça, mais commercial!
Passionnant, mais surprenant. Il n'y aurait pas une zone d'attente possible entre l'avion et la douane ? Les passagers seraient informés qu'ils peuvent désormais utiliser leur téléphone, se déplacer librement n'importe où entre l'avion et la douane, s'ils veulent se dégourdir les jambes.
Splitcat a écrit:Je ne suis plus très sûr de mes souvenirs, mais il me semble que lors de mon passage éclair à Dubai, deux fois, nous avions pu débarquer puis réembarquer sans contrôle douanier. Juste en montrant le billet.
On restait dans le terminal, ce qui nous donnait accès à toutes les commodités.
Splitcat a écrit:Sinon, pour revenir sur le début de la citation, c'est a priori pas très malin de la part des concepteurs, si leurs IRS et autres calculos de nav ne fonctionnent plus à 90°N.
Splitcat a écrit:La solution ? Ne pas travailler en coordonnées sphériques, puis convertir les résultats en coordonnées sphériques
Splitcat a écrit:J'ose espérer qu'ils ont leurs raisons de ne pas faire comme ça...
Gilles131 a écrit:Chais pas... Pitêtre c'est juste qu'y sont trop c.ns?
ebonv a écrit:Comment ils les trouvent ?
Bee Gee a écrit:Pour la petite histoire des centrales inertielles, André Turcat avait amené Concorde lors d'une campagne d'essais en vol à N90 par curiosité de voir ce qui allait de passer et aussi par conscience professionnelle, le pole nord étant pris comme point tournant, et comme on le sait tous les caps sont au 180, encore faut il prendre la bonne direction.. Et bien il ne s'est rien passé de désagréable, au passage du pôle l'avion a viré du bon coté et dans la bonne direction..
Splitcat a écrit:Bee Gee a écrit:Pour la petite histoire des centrales inertielles, André Turcat avait amené Concorde lors d'une campagne d'essais en vol à N90 par curiosité de voir ce qui allait de passer et aussi par conscience professionnelle, le pole nord étant pris comme point tournant, et comme on le sait tous les caps sont au 180, encore faut il prendre la bonne direction.. Et bien il ne s'est rien passé de désagréable, au passage du pôle l'avion a viré du bon coté et dans la bonne direction..
Bah voilà, tu me rassures
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