Bee Gee a écrit:.........
Cher geebee, en parcourant rapidement le texte de l’ami halfinger, j’ai pris un instant ses vessies pour des lanternes ! fatigue ou (et) altération des performances intellectuelles due(s) à l’age sans doute.
Je reprécise donc une nouvelle fois mon point de vue sur l’affaire au cas ( peu probable) ou cela puisse Intéresser les gens.
En roulis à vitesse angulaire constante, le braquage des ailerons est adapté à la vitesse angulaire de roulis , pour que les deux ailes
génèrent ( pratiquement pour simplifier ) la même portance.
La somme des moments par rapport à l’axe de roulis est nulle.
( Si elle ne l’était pas il y aurait variation de vitesse )
Cette rotation d’un moment nul ne génère évidement aucun travail
En raisonnant comme halfinger, le travail effectué par la portance de l’aile qui monte et celui de celle qui descend s’annulent.
La rotation s’effectue donc à travail nul et par conséquent à puissance nulle, tout comme les roues d’hervé s’il consent à faire abstraction des frottements parasites divers.
Il est donc inutile de prélever de l’énergie sur l’écoulement.Les deux ailes générant la même portance , travaillent globalement au même Cz
Seules les traînées de profil due au braquage des ailerons diffèrent et fabriquent le très fameux lacet inverse ( moment de lacet du au braquage des ailerons ( coeff Cn da ))
Auquel s’ajoute le moment de lacet du à la vitesse de roulis ( coeff. Cn p ) dont l’origine est l’inclinaison des résultantes aérodynamiques due à la modification des l’incidences locales .
En espérant être à peu près clair.
Dans la théorie Halfinger , l’aile montante prélève de l’énergie à l’écoulement que l’aile descendant lui restitue.
Il s’en suit des traînées différentes qui expliquerait le moment de lacet.
Je pense que c’est faux.
En d’autres temps, il conviendrait de brûler Halfinger.