Le forum des pilotes privés

Bonjour

les petits aerodromes éloigné des villes
Comment cela se passe chez vous ? arrivent t il a survivre a rester ouvert toute l'années
Leur clients principale , pilote avion de passage , ou gens des alentours réception ocassionelles ,
bar avec vente de bierre et vin .
financierement quelle sont leur plus grandes dépenses .
les permis , assurances , le loyer ,le cout d'operation de la cuisine, gaz , éléctricité , l'achat des aliments qui sont contrôlés, les pertes d'aliments ,les contreintes fiscales, les employés ,cuisinier, serveuses ..
Pendant la période creuse, hiver ou semaine de mauvaise météo, ils survivent comment ?
Changer vous souvent de personnel ?
Qu'est ce qui attire les clients , la qualité des menu , le service , le prix ou la vue sur les pistes avec avions .

Le constat que l'on fait au alentours .
Un aerodrome doit être éloigné d'une ville pour éviter les mécontants qui aprécient pas les avions en circuit, cela réduit les clients local
Les avions de passage viennent, si le restaurant est ouvert a des heures régulieres (pas seulement les fins de semaine ) je dirais 10% de leur clients ,
Les gens de passage vienent il ont une vue sur la piste et voir des avions décoller atterrie accés a une terrasse et possibilité d'emener les enfant autour des avions
les menus doivent etre simple et servie rapidement . (c'est problématique lorsque 30 personnes arrive en même temps )
Un aerodrome sans restaurant ou personne a l'acceuil devient vite désert et abondonné
Autre constat les concessionaires dépasse pas souvent une saison d'été , et a chaque année , il faut repartir avec des nouveaux .
Cela devient un probléme avoir un aceuille ou un restaurant qui arrive a survivre , même avec une aide substentielle .


André

Dans les petits aérodromes c'est plutôt rare, avec "vigipirate" ça s'est pas mal compliqué y compris pour petits moyens aérodromes avec club ; c'est donc bien souvent à côté, en dehors de l'enceinte réservée quand il y en a un et il n'est presque jamais géré par le club qui se contente en général d'un guest house avec bar .... le cas idéal c'est une pompe à carte H24 sur le terrain avec un bon resto a proximité et accessible à pieds pour les avions de passage, comme ça les clients prennent l'apéro au club avant d'aller manger et au retour petit café dijo au club avant de remonter dans l'avion et y repartent avec les pleins en se disant qu'ils ont bien fait de faire étape chez nous ..

Concernant ce sujet, je vous informe que sur le terrain de VINON /VERDON, juste à côté de la tour de contrôle (non active) se trouve un petit resto hyper sympa!!!

Marie-Jo sert des plats du jour très corrects à des prix tout à fait convenables. On peut manger dedans ou dehors. Bref à connaître ! ! ! !

jppilote13 a écrit:Concernant ce sujet, je vous informe que sur le terrain de VINON /VERDON, juste à côté de la tour de contrôle (non active) se trouve un petit resto hyper sympa!!!

Marie-Jo sert des plats du jour très corrects à des prix tout à fait convenables. On peut manger dedans ou dehors. Bref à connaître ! ! ! !

Merci du tuyau.
J'ai des amis pas loin et je n'y suis jamais allé en avion

Ah, les restaurants sur les petits terrains. Tout un poème !
Perso, je téléphone avant afin de réserver toute la salle, je ne veux pas risquer d’être mélangé avec la piétaille.
Je gare mon bimoteur, parfois mon Jet, juste devant la terrasse.

S’il y a des Jodels ou autre petit Piper Club de type Cessna (parole de journaliste entendue) je donne de grands coups de gaz pour éparpiller les manants et les gueux.

Alors, entouré de mes amies, je me dirige vers le bar, poignet bien en vue que l’on puisse admirer ma Breitling.
Il faut évidemment supporter au bar les propos des pilotes de Jodels et autres infâmes trapanelles en bois de cageot qui viennent de leur champ, situé à l’autre bout du département.
Il y a même parfois des biplans devant MA terrasse, c’est grotesque et ça fait rire l’entourage. Des gens d’un autre âge !

Père me disait toujours, en me prêtant le Beech Baron de l’usine : ne vas pas trop sur certains terrains, il y a de nos ouvriers qui pilotent des choses innommables et qui friment avec des foulards de soie, au bar d’endroits qui ne leur sont sociologiquement pas destinés.
Père avait raison.

Puis, j’ai eu droit au Falcon 50 de la maison mère et ces petits terrains de fortune ne furent plus qu’un mauvais souvenir.

Enfin, une fois attablé, je me régale de mets spécifiques des gens riches et célèbres. J’ai le temps et le cuistot est à mon service.
Je suis confiant pour le retour, les 4 GPS, les 3 I-pads et l’Oméga de mon avion, me tireront bien jusqu’à ma base, sinon un coup de VDF et hop posé, pas cassé, c’est gagné.

Je songe à racheter ces petits restaurants où j’imposerais mon menu : hamburgers cramés pour les jodels, ragoûts de mouton pour les biplans et nourriture normale pour les gens riches et célèbres.

Ah, le paradis, un monde sans Jodels et avec des restaurants réservés à l’élite

Bon, on peut rêver, non ?

Jan

Jan Tutaj a écrit:Ah, les restaurants sur les petits terrains. Tout un poème !
Perso, je téléphone avant afin de réserver toute la salle, je ne veux pas risquer d’être mélangé avec la piétaille.
Je gare mon bimoteur, parfois mon Jet, juste devant la terrasse.

S’il y a des Jodels ou autre petit Piper Club de type Cessna (parole de journaliste entendue) je donne de grands coups de gaz pour éparpiller les manants et les gueux.

Alors, entouré de mes amies, je me dirige vers le bar, poignet bien en vue que l’on puisse admirer ma Breitling.
Il faut évidemment supporter au bar les propos des pilotes de Jodels et autres infâmes trapanelles en bois de cageot qui viennent de leur champ, situé à l’autre bout du département.
Il y a même parfois des biplans devant MA terrasse, c’est grotesque et ça fait rire l’entourage. Des gens d’un autre âge !

Père me disait toujours, en me prêtant le Beech Baron de l’usine : ne vas pas trop sur certains terrains, il y a de nos ouvriers qui pilotent des choses innommables et qui friment avec des foulards de soie, au bar d’endroits qui ne leur sont sociologiquement pas destinés.
Père avait raison.

Puis, j’ai eu droit au Falcon 50 de la maison mère et ces petits terrains de fortune ne furent plus qu’un mauvais souvenir.

Enfin, une fois attablé, je me régale de mets spécifiques des gens riches et célèbres. J’ai le temps et le cuistot est à mon service.
Je suis confiant pour le retour, les 4 GPS, les 3 I-pads et l’Oméga de mon avion, me tireront bien jusqu’à ma base, sinon un coup de VDF et hop posé, pas cassé, c’est gagné.

Je songe à racheter ces petits restaurants où j’imposerais mon menu : hamburgers cramés pour les jodels, ragoûts de mouton pour les biplans et nourriture normale pour les gens riches et célèbres.

Ah, le paradis, un monde sans Jodels et avec des restaurants réservés à l’élite

Bon, on peut rêver, non ?

Jan

Il faudrait quand même penser à rallonger les pistes à 2000 m minimum et supprimer les pistes en herbe, pleines de boue et d'un autre âge également.

Puis, peut-être surtaxer les avions de moins de 1000 Kg et ne plus mettre que des pompes avec du Jet A1, payables uniquement avec des cartes Gold au minimum !!!

Jan t'es pas dans le coup, ce genre de clientèle aujourd'hui se véhicule en hélico et fréquente les grandes tables qui disposent bien souvent d'une DZ hélico , appelée piste hélicoptère dans les brochures relais châteaux ..
Mais les vrais m'as tu vu se posent directement sur le parking auto du resto et parfois le cirque se termine mal comme chez " bob " :

Le 7 janvier 2007, après avoir déjeuné "chez Bob", restaurant situé en pleine Camargue, Luc Petit, un chef d'entreprise venu des Saintes-Maries-de-la-Mer avec sa famille, remontait à bord d'un "Alouette II", qu'il avait fait atterrir sur le parking de l'établissement, ayant servi d'héliport pour l'occasion.
Il était 15h30 environ. Plusieurs clients avaient alors voulu assister au décollage de l'appareil et s'étaient massés aux abords du parking. Quelques instant après, l'engin s'était écrasé au sol, heurtant plusieurs spectateurs : trois personnes étaient décédées, trois autres avaient été blessées, dont une femme qui avait été amputée d'une jambe.

jusqu'à ce jour le restaurant "les Ailes", basé sur l'aérodrome d'Auxerre, est ouvert 5 jours sur sept et on y trouve le midi les ouvriers du coin qui consomment une cuisine familiale et roborative. Mais pas le WE. Pourquoi: quasi pas de passage routier (terrain perdu dans la forêt de Branches) et pas de passage aérien: le trafic extérieur est très faible, peut-être suite à la fermeture du terrain l'été dernier pour travaux.
Mais le nouveau gestionnaire, arrivé en février, a pris des décisions: tous les services doivent être ouverts sept jours sur sept dont l'AFIS et le restaurant. Donc taxes d'atterrissage y compris le WE (doublées pour nos machines et fortement augmentées pour le VDN, l'IFR, le handling...) et mise en demeure au resto d'ouvrir le WE.
Donc il se dit qu'en aout, les Ailes vont fermer... Vu l'attitude du gestionnaire en question je me demande si l'on ne trouvera à la place des distributeurs automatiques et/ou des sandwichs cafés servis par les pompiers.

Jan Tutaj a écrit:Père me disait toujours, en me prêtant le Beech Baron de l’usine : ne vas pas trop sur certains terrains,...

Père te tutoyait!!???

Oui-da mon bon !

J'ai remarqué qu'en France les restaurants d'aérodromes sont souvent fermés leWE. Ca veut dire qu'ils ont plutot une clientèle de gens qui travaillent pas loin, et que l'aérodrome n'est pas une attraction suffisante pour que les gens du coin y aillent déjeuner, je trouve ça un peu triste mais c'est ainsi, l'aviation légère ne passionne plus grand monde.

Sur la qualité, en général je trouve que c'est moyen, je trouve dommage d'aller en France pour manger des choses sorties du congélateur. J'aime avoir au moins un légume frais qui poussé dans de la vraie terre et qui a du goût.

Le meilleur que je connais est celui de Sainte Foy la Grande, il faut réserver la veille car le patron ne vous sert pas du fond de congélateur, et donc il faut prévenir pour qu'il puisse aller chercher les bons produits. Il est exceptionnel. Il y a des chambres: installez vous une quinzaine pour y passer votre brevet de planeur.

Si vous connaissez d'autres restaurants d'aérodrome de grande qualité , je suis preneur.

J'ai ouï dire que le "restaurant" qui se trouve à Amboise Dierre, qui est géré par une membre du club et se fait un plaisir de rassasier les pilotes de passage pour une modique somme.
Pré-requis appeler le club la veille. Je vais bientôt essayer donc j'aurai l'occasion de vous transmettre mon avis

Le Brunch du dimanche à Pont/Yonne...

SkyBlue a écrit:J'ai ouï dire que le "restaurant" qui se trouve à Amboise Dierre, qui est géré par une membre du club et se fait un plaisir de rassasier les pilotes de passage pour une modique somme.
Pré-requis appeler le club la veille. Je vais bientôt essayer donc j'aurai l'occasion de vous transmettre mon avis

Si tu y vas, la bise à Monique.

Eric

EchoVictor a écrit:Si tu y vas, la bise à Monique.

Eric

Pas de soucis, ce sera fait j'y serai le dimanche 24 avril à midi selon la météo