Re: Accident en Instruction.
Posté: Lundi 12 Août 2013 17:09
Bonjour
[quote="gigi4]
Je pense que devenir un bon pilote n'a rien à voir avec le nombre d'heures passées dans un avion, que cet avion soit moderne, à train classique, à queue plate ou à bille rectangulaire.
[/quote]
Bon pilote ? cela dépend qui est le juge . (je suis dans la catégorie des pas bons et je me le fait dire souvent si tu est encore en vie parceque ni le diable ni le bon dieu te veux.)
bon cela veut pas dire grand chose, les criteres de (bon) habile, pour un pilote sauvage des champs sont differrentes que celle d'un pilote de ville .
Je pense que un pilote devient (bon) quand il vole sur de nombreux avions, relaxe qu'il se sent plus a l'aise dans un avion que dans une auto . Pour cela il faut passer beaucoup d'heures sur le siege de son avion, aprivoiser sa monture c'est quelque chose de long .. (on laissepa sun cheval pendant une semaine dans son enclos tout seul , il faut aller lui parler a tous les jours, et il aime chevaucher avec son cavalier.)
Il y a juste ceux qui ont la tête enflé qui se pense bon , on se débrouille, sans etre mauvais , mais on est jamais bon..
Dans les années 60 il devaient tous (etre bon) , parceque la formation se faisait sur un Piper J3 ?
Pas d'accord avec toi de dire que les heures de vol n'ont rien avoir , pour les quelques pilotes dans mon entourage certain qui ont suivie leur formation avec instructeur sur des aeroports controlés en Cessna 172 tout équipé, toucher a l'IFR , quelques années plus tard, il vol de facon clairsemé au 2 mois a coup de 4 heures en petits voyage, juste par beau temps calme .. L'autre qui a appris avec un autre pilote sans brevet , passer sa licence (par la petite porte) , le théorique juste le minimum, mais qui vole 3 fois par semaine fait de nombreux atterrissages ,décollage et baroudage sur toutes sortes de piste , météo parfois sur le bord, vent traverssier. Entre ses deux pilotes, il se creuse un écart assez rapidement avec les années .
Aprés un certain temps celui qui vol peu devient craintif, il trouve toutes sorte d'éxcuses pour ne pas voler , ne veut pas essayer d'autre avion, se tiend largement endessous des limites de son avion a un moment donné, il lui passe une petite frayeur, atterrissage difficile vent de travers , ou arbre en entrée de petite piste, ou grosse turbulence en approche, il devient nerveu et fini par juste laver son avion et traquer les petites coulisses d'huile du moteur, En quelques années, il fini par arretter de voler .
L'autre qui vole presque tous les jours avec un avion ancien Champion, ou ULM, approche graduellement
les limites d'utilistion de sa machine . pas toujours réglementaire dans sa facon de faire des circuits
avec le temps il vas lui arriver des petites avaries , train atterrissage, bris d'hélice, déchirure, de toile c'est cela l'éxperience . Ces petites avaries c'est comme la lampe d'alarme qui lui dit c'est trop proche des limites, cela passe pas trop serré, prend plus de jeux élargie les tolerences.
André
[quote="gigi4]
Je pense que devenir un bon pilote n'a rien à voir avec le nombre d'heures passées dans un avion, que cet avion soit moderne, à train classique, à queue plate ou à bille rectangulaire.
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Bon pilote ? cela dépend qui est le juge . (je suis dans la catégorie des pas bons et je me le fait dire souvent si tu est encore en vie parceque ni le diable ni le bon dieu te veux.)
bon cela veut pas dire grand chose, les criteres de (bon) habile, pour un pilote sauvage des champs sont differrentes que celle d'un pilote de ville .
Je pense que un pilote devient (bon) quand il vole sur de nombreux avions, relaxe qu'il se sent plus a l'aise dans un avion que dans une auto . Pour cela il faut passer beaucoup d'heures sur le siege de son avion, aprivoiser sa monture c'est quelque chose de long .. (on laissepa sun cheval pendant une semaine dans son enclos tout seul , il faut aller lui parler a tous les jours, et il aime chevaucher avec son cavalier.)
Il y a juste ceux qui ont la tête enflé qui se pense bon , on se débrouille, sans etre mauvais , mais on est jamais bon..
Dans les années 60 il devaient tous (etre bon) , parceque la formation se faisait sur un Piper J3 ?
Pas d'accord avec toi de dire que les heures de vol n'ont rien avoir , pour les quelques pilotes dans mon entourage certain qui ont suivie leur formation avec instructeur sur des aeroports controlés en Cessna 172 tout équipé, toucher a l'IFR , quelques années plus tard, il vol de facon clairsemé au 2 mois a coup de 4 heures en petits voyage, juste par beau temps calme .. L'autre qui a appris avec un autre pilote sans brevet , passer sa licence (par la petite porte) , le théorique juste le minimum, mais qui vole 3 fois par semaine fait de nombreux atterrissages ,décollage et baroudage sur toutes sortes de piste , météo parfois sur le bord, vent traverssier. Entre ses deux pilotes, il se creuse un écart assez rapidement avec les années .
Aprés un certain temps celui qui vol peu devient craintif, il trouve toutes sorte d'éxcuses pour ne pas voler , ne veut pas essayer d'autre avion, se tiend largement endessous des limites de son avion a un moment donné, il lui passe une petite frayeur, atterrissage difficile vent de travers , ou arbre en entrée de petite piste, ou grosse turbulence en approche, il devient nerveu et fini par juste laver son avion et traquer les petites coulisses d'huile du moteur, En quelques années, il fini par arretter de voler .
L'autre qui vole presque tous les jours avec un avion ancien Champion, ou ULM, approche graduellement
les limites d'utilistion de sa machine . pas toujours réglementaire dans sa facon de faire des circuits
avec le temps il vas lui arriver des petites avaries , train atterrissage, bris d'hélice, déchirure, de toile c'est cela l'éxperience . Ces petites avaries c'est comme la lampe d'alarme qui lui dit c'est trop proche des limites, cela passe pas trop serré, prend plus de jeux élargie les tolerences.
André