Philippe, ta méthode est bonne, je la pratique aussi, mais la question était :
une CTR classe D avec horaires donnés, elle devient quoi en dehors des horaires ?
Pour un pilote la bonne pratique est de vérifier l'inactivité réelle de la zone, s'il le peut.
Ayant précisé l'hypothèse posée
les horaires étant "donnés" donc diffusés et connus avec certitude j'avais même ajouté que cette certitude n'est pas facile à avoir.
Enfin je ne fais aucun pari, contrairement aux organismes publiant des horaires qu'ils ne les engagent pas.
Je me contente d'appliquer les règles de l'air et mon bon sens (ou ce qu'il en reste
En dehors des horaires publiés par la voie de l'information aéronautique (qui va règlementairement jusqu'aux Notams),
[BLOCKQUOTE]n'acceptant pas d'aller officiellement au delà (par exemple info par radio, équivalent moderne de tableau de service au pied de la tour)
pensant aux sans radio et à tous ceux qui volent près du sol et reçoivent mal l'ATIS avant les limites de la CTR publiée inactive,[/BLOCKQUOTE]
les CTR n'existent plus (idem n'importe quelle zone ou classe),
et "ta" CTR de Melun (privilège exhorbitant des quelques avions d'un exploitant basé qui ne voit son salut qu'avec toujours plus de classes >=D) pas plus que les autres !
Le SIA publie ce qu'on lui demande, et il fait bien ce travail.
Le hic c'est que je ne trouve pas toujours la correspondance entre son texte et les textes officiels (avec leurs cascades de niveaux OACI, EASA, CAC, RDA, SCA ou conventions internationales, lois, décrets, arrêtés, circulaires).
Le texte cité par A7700 rappelle dans son premier alinéa une équation possible (CTR inactive mais TWR active), dans le deuxième il se met au service du n'importe quoi mais uniquement pendant une heure après l'heure.
C'était mon quart d'heure de râleur, merci de m'avoir lu.
Jean Bossy