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Les Administrateurs
Hubert Charolles a écrit:Le verdict est tombé. 18 mois de suspension de licence et 1000 € d'amende.
jppilote13 a écrit:Imaginons:
Et si un wagon de pilotes se cotisaient pour payer un avocat en appel . La collecte pourrait se faire par l'intermédiaire des aéroclubs qui centraliseraient les dons et qui les reverseraient à l'avocat directement. Ca pourrait être utile et en plus cela créerait une publicité permettant peut être de faire passer quelques messages.
Hérétic a écrit:
Dans tous les cas à moins d'être totalement dégoûté de l'aviation, faire appel avec un avocat spécialisé serait une bonne chose, non?
patrickdb a écrit:c'est ce qui faut faire: se cotiser tous pour payerun cabinet d'avocats pour nous défendre: ce qui se passerait s'ilexistait une "fédération" (un truc à inventer je suppose )
jppilote13 a écrit:Imaginons:
Et si un wagon de pilotes se cotisaient pour payer un avocat en appel . La collecte pourrait se faire par l'intermédiaire des aéroclubs qui centraliseraient les dons et qui les reverseraient à l'avocat directement. Ca pourrait être utile et en plus cela créerait une publicité permettant peut être de faire passer quelques messages.
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Art. 1er. - Le présent arrêté s’applique à tous les événements liés à la sécurité dans le domaine
de la gestion du trafic aérien, dite « ATM » :
1° - qui impliquent ou affectent un aéronef évoluant en circulation aérienne générale
(CAG);
2° - qui impliquent ou affectent un organisme rendant tout ou partie des services de la
circulation aérienne à des aéronefs évoluant en CAG ;
3° - qui impliquent ou affectent un organisme civil rendant tout ou partie des services de
la circulation aérienne à des aéronefs évoluant en circulation aérienne militaire (CAM) ;
4° - qui impliquent ou affectent :
- un organisme de la défense rendant tout ou partie des services de la circulation
aérienne à des aéronefs évoluant en CAM
et / ou
- des aéronefs évoluant en CAM,
lorsqu’ils concourent à améliorer la sécurité de la circulation aérienne.
Art. 2. - Un événement dans le domaine de la gestion du trafic aérien, dit « événement
ATM », est un accident, un incident grave ou un incident entendu au sens de l’annexe 13 de
la convention relative à l'aviation civile internationale du 7 décembre 1944 susvisée, ainsi
que tout autre dysfonctionnement d’un aéronef ou d’un équipement à bord de l’aéronef ou
d’un système utile pour la fourniture d'un service de gestion du trafic aérien, qui présentent
un intérêt spécifique pour la gestion du trafic aérien.
Art. 3 - Lorsqu’un pilote ou un agent d’un prestataire de services de navigation aérienne relève
qu’un événement ATM a compromis ou aurait pu compromettre la sécurité d’un aéronef
et au minimum ceux figurant dans la liste jointe à l’annexe I du présent arrêté, il le notifie :
- pour un pilote, selon la procédure définie à l’annexe II du présent arrêté
et
- pour un agent d’un prestataire de services de navigation aérienne, selon la procédure
définie par le prestataire de services de navigation aérienne.
...
2 Incidents
En particulier, les types d'incident suivants, qui présentent un intérêt spécifique pour l’ATM :
2.1 Quasi-collision
Ce sont des situations spécifiques où un aéronef et un autre aéronef/le sol/un véhicule/une
personne ou un objet sont perçus comme étant trop proches l'un de l'autre :
• non-respect des minima de séparation ;
• séparation insuffisante ;
• quasi-impact sans perte de contrôle (quasi-CFIT) ;
• incursion sur piste ayant nécessité une manoeuvre d'évitement.
2.2 Incidents susceptibles de devenir des collisions ou des quasi-collisions
Ce sont des situations spécifiques susceptibles de conduire à un accident ou à une quasicollision,
si un autre aéronef se trouve à proximité :
• incursion sur piste n'ayant pas nécessité de manoeuvre d'évitement ;
• sortie de piste d'un aéronef ;
• non-respect par l'aéronef de la clairance ;
• non-respect par l'aéronef des réglementations ATM applicables :
• non-respect des procédures ATM publiées applicables,
• pénétration non autorisée dans un espace aérien,
• non-respect des dispositions réglementaires applicables en matière d'emport et d'exploitation des équipements ATM.
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Procédure de notification d’un événement ATM par un pilote
1 Notification en vol
Dès constatation d’un événement, le pilote le notifie, par radio, à l’organisme des services de
la circulation aérienne avec lequel il est en contact ou, à défaut, à l’organisme des services
de la circulation aérienne chargé d’assurer des services de la circulation aérienne dans
l’espace aérien dans lequel il évolue.
2 Notification à l’issue du vol
Si la notification en vol n’est pas possible, le pilote notifie l’événement par tout moyen disponible
(téléphone ou télécopie) dès le premier atterrissage, soit à l’organisme des services de
la circulation aérienne ayant autorité sur l’espace dans lequel s’est produit l’événement soit,
à défaut, à tout autre organisme des services de la circulation aérienne qui transmet les éléments
communiqués à l’organisme concerné.
3 Compte-rendu
Le pilote fait parvenir dans les meilleurs délais, et au plus tard dans un délai de deux semaines
à compter de la date de l’événement, un compte-rendu :
- au Service du Contrôle du Trafic Aérien (SCTA), si le pilote est civil ;
- à la Direction de la Circulation Aérienne Militaire (DIRCAM), si le pilote relève
de la défense.
Le type d’événement est précisé dans le compte-rendu. Il peut s’agir d’un événement relatif
à un airprox, une procédure ou des installations.
Un airprox est une expression désignant la proximité d’aéronefs dans un compte-rendu
d’événement.
Une proximité d’aéronefs est une situation dans laquelle, de l’avis d’un pilote ou du personnel
des services de la circulation aérienne, la distance entre des aéronefs ainsi que leurs
positions et vitesses relatives ont été telles que la sécurité des aéronefs en cause peut avoir
été compromise.
Un modèle de formulaire de compte-rendu d’événement lié à la sécurité dans le domaine de
l’ATM figure ci-après.
1 AIRPROX Reporting - General
1.1 An AIRPROX Report should be made whenever a pilot or controller considers that the distance between aircraft as well
as their relative positions and speed have been such that the safety of the aircraft involved was or may have been
compromised.
Donc pas de possibilité de poursuites automatiques basées sur une distance de rapprochement minimale de 1km.3.2.1 Proximité
Un aéronef n’évolue pas à une distance d’un autre aéronef telle qu’il puisse en résulter un risque de
collision.
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