teubreu a écrit:Sur le principe oui, en pratique tu peux entrer/sortir 10 fois de la couche pendant une approche, pareil pour la montée... Il y a autre chose à faire à ce moment que de noter des heures.
Ca m'étonne juste des américains qu'ils n'aient pas simplifié cette règle.
2 choses:
1. Si tu es pragmatique tu ne notes pas les cumulus que tu traverses
2. Si tu es pragmatique tu te poses la question de savoir à quoi te servirait de monter ton temps en VSV, et si cela ne te sert pas, tu n'as pas besoin de le consigner.
Ce qui a démarré cette discussion est que cessnaexact a besoin de justifier d'au moins 2 heures de VSV pour obtenir un PPL Australien, et qu'en l'occurence il ne peut pas.
Ce qui doit être logué dépend de la règlementation. Aux Etats-Unis on a besoin de vol en VSV pour remplir certaines exigences. A priori en EASA non, sauf pour des formations en ATO, mais dans ce cas c'est le dossier de l'élève qui justifie de son expérience.
En FAA il n'y a pas de test de compétence annuel pour proroger l'IR. En revanche pour pouvoir voler en IFR il faut avoir fait 6 approches et une attente en VSV dans les 6 derniers mois. Et si à un moment donné on ne satisfait plus à cette exigence il faut soit faire un IPC (Instrument Proficiency Check) avec un CFII (l'équivalent FAA de IRI), soit aller faire le nombre d'approches requis, éventuellement une attente, en VFR avec un autre pilote pour assurer la sécurité. les 6 approches et l'attente doivent être faites en VSV, et il y a un avis du FAA Legal Counsel qui indique que les conditions doivent être VSV jusqu'au FAF. D'où l'intérêt de loguer le VSV