Philippe Warter a écrit:D'un autre côté, c'est depuis toujours le modèle de nos voisins. Tu penses vraiment que l'aviation légère (certifiée) se porte mieux en Belgique, en Espagne ou en Italie?
Je ne sait pas mais j'imagine que la réponse est non, mais dans cette configuration, les choses sont plus clair, on paye pour une prestation, on arrive, on vol et on repart (c'est exactement ce qui se passe aujourd'hui dans les clubs), la formation est faite obligatoirement par des CPL et les avions sont toujours impéccable. Je vais un peu prés toutes les semaines à mon club, comme ça pour dire bonjour (puisque je suis proprio je ne vol plus sur les avions du club) et il n'y a jamais personne d'autre que les élèves qui viennent faire leur instruction. Sur 120 membres, on doit être 10 à venir comme ça pour dire bonjour, les autres viennent soit faire leur 12h réglementaire, soit leur renouvellemnent, soit payer leur dettes. Que ce soit pour une société commerciale ou une association, un passionné est un passionné, il vient voler, discuter avion et filer la main sur n'importe quoi ( faire le plein à un avion de passage, préparer un dossier méteo, nettoyer les verrières, aider à sortir les tagazous...ect...ect ). De plus une société se doit d' investir régulièrement, d'entretenir son matériel ( regarde l'état de la plupart des hangars) et de surveiller les compétences de ces clients pilotes. Dans notre société actuelle, je ne voit pas d'autre solution que de passer à cette formule, sinon les clubs pourriront lentement. Je discute de cela avec pas mal d'instructeur salarié ( donc CPL) qui tous sont du même avis, ils sont au centres des Clubs, ont des responsabilité sécuritaire importantes et pourtant ils ne sont pas écouté de leur bureau, ils tous sont las de cette situations et en on marre des gueguerres de bureau qui sterilise les évolutions nécessaire.