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Bob a écrit:Gilles131 a écrit:De même, en planeur tu sens très bien quand tu passes dans le souffle hélicoïdal du remorqueur en position un peu trop basse, mais je n'ai jamais constaté l'effet des tourbillons marginaux (dans un sens différent aux deux extrémités de voilure). Et ce n'est pas faute d'avoir exploré, avec mes élèves, toutes les positions possibles et imaginables derrière le remorqueur.
Comment savoir si on est dans la turbulence de sillage de la cellule ou dans le souffle de l'hélice (ou plutôt les deux...).
Philippe Warter a écrit:Forcément, ce ne pouvait pas être dû à son hélice. Donc il s'agissait bien des tourbillons marginaux, appelés aussi vortex.
Philippe Warter a écrit:Derrière un gros, c'était la catastrophe assurée.
Philippe Warter a écrit:Donc les 3 minutes d'écart habituellement demandées ne sont pas un luxe à mon avis.
Gilles131 a écrit:Philippe Warter a écrit:Philippe Warter a écrit:Donc les 3 minutes d'écart habituellement demandées ne sont pas un luxe à mon avis.
Pas le moindre doute là-dessus.
Philippe Warter a écrit:Un Cap10 en encadrement (donc tout réduit) me coupe la finale, (en courte, voire très courte). Il ne m'a pas vu, bien établi en finale, la radio n'est pas obligatoire, mais j'en ai une donc je m'en sers. Il n'a pas dû comprendre qu'en poursuivant, il coupait ma trajectoire 50 m à peine devant moi.
Ce sont des choses qui arrivent, que celui qui n'a jamais fait une connerie lui jette la première pierre.
Le souci, le vrai, c'est que je me retrouve sur la tranche! (D112, seul à bord, donc environ moitié moins lourd que le Cap). J'ai remis les gaz, je ne sais pas trop comment, et je me suis fait une belle frayeur, très brièvement, heureusement.
Forcément, ce ne pouvait pas être dû à son hélice. Donc il s'agissait bien des tourbillons marginaux, appelés aussi vortex.
Derrière un gros, c'était la catastrophe assurée. Donc les 3 minutes d'écart habituellement demandées ne sont pas un luxe à mon avis.
Bee Gee a écrit:Je ne vois pas comment on peut remettre tout ça en question ...
Gilles131 a écrit:Philippe Warter a écrit:Derrière un gros, c'était la catastrophe assurée.
Presque assurément. Sauf à avoir la présence d’esprit (et la capacité) d’accompagner le roulis et de finir le tonneau complet, comme je l’ai vu faire en Cessna 310 en vent arriere, derrière un Airbus en approche à vue à Montpellier.
Ben au dernier stage "sortir de positions inusuelles" l'instructeur voltige a beaucoup insisté sur la quasi impossibilité de finir le tonneau avec un avion de tourisme (pas de voltige) lorsqu'on est surpris et pas entrainé / habitué à le faire
Gilles131 a écrit:Bee Gee a écrit:Je ne vois pas comment on peut remettre tout ça en question ...
Personne ne remet en cause l'existence des tourbillons marginaux, ni leur danger derrière une grosse machine.
Relis mieux.
Julien78510 a écrit:Gilles131 a écrit:Bee Gee a écrit:J
Amuses toi à faire un passage au ras d'une belle couche de stratus bien stable d'hiver, puis ressource et demi tour, tu vas voir ton sillage bien tracé.
Image très classique d'un avion de ligne "creusant" un sillon dans le nuage stratiforme au ras duquel il vole...
On oublie cependant l'apport calorique de ses réacteurs amenant un énorme débit d'air à quelques centaines de degrés celsius, qui intervient peut-être un peu plus dans le bilan thermodynamique que les tourbillons marginaux (qui, du reste, fabriquent du nuage alors que la chaleur des moteurs, elle, le dissipe).
Ca marche très bien en cap 10...
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