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Les Administrateurs
mbianco a écrit:Ca y est , j'avance, j'comprends plus rien !
- Comme conseillé plus haut, je viens de lire les mémos de l'ANPI, et pour eux il faut 2 moyens de navigation pour les parcours où il n'est pas possible de naviguer par repérage visuel
- interloqué, j'ai regardé le NCO.IDE.A.195 : effectivement, il faut pouvoir suppléer la panne d'un équipement, donc en avoir 2.
Mais, je sais d'expérience que la lecture de ces textes suscite autant d'interprétations qu'il y a de lecteurs...
Michel
wilbur a écrit:Méfiance, l'ANPI "réécrit" les règles assez souvent... en tout cas, en a une interprétation de type" couverture de laine renforcée".....
Aviathor a écrit:wilbur a écrit:Méfiance, l'ANPI "réécrit" les règles assez souvent... en tout cas, en a une interprétation de type" couverture de laine renforcée".....
J'allais écrire qqc dans ce sens, mais moins diplomatique...
Cela dit, au delà des légalités avec lesquelles on peut s'amuser à longueur de journée, la question que l'on peut se poser est "est-ce bien raisonnable?" Quel est l'équipement minimum avec lequel on se sentirait à l'aise on top? Une tablette, un NAV, un ADF, un GPS? Autre question que l'on peut se poser est "si jamais la couche ne me permettait pas de redescendre en VMC, saurai-je la traverser en sécurité? Suis-je suffisamment entraîné pour cela?"
On a beau avoir fait quelques heures d'entraînement avec des lunettes VSV, se retrouver dans la couche donne des sensations totalement différentes.
rallye a écrit:Je me sens à l'aise avec un VOR et un gps portable,mais pas un fixe"
J'explique.Mon GPS non homologué portable,j'ai l'occasion de m'entrainer dans mon salon quand je veux,ce qui n'est pas le cas avec un homologué qui reste dans l'avion.Hors par expérience,j'ai constaté que pour connaitre un gps,il faut l'employer très frequemment,et jouer avec lui ce qui est difficile lorsqu'il reste dans l'avion,surtout s'il est de club.
PhM a écrit:J’ai été confronté à la découverte du GPS dans les années 90 et je procédais comme toi : étude des menus, création des navs, ...dans le canapé J’ignorais ceux installés dans les avions de loc, en installant le mien sur le volant.
Maintenant, Garmin propose des simulateurs à charger sur son ordinateur.
Philippe Warter a écrit:Une VHF suffit pour le vol on top en France métropolitaine. Ailleurs je ne sais pas.
Il faut avoir repéré au préalable les stations VDF de part et d'autre de la route, et faire des recoupements.
Dans les faits un recoupement toutes les demi-heures suffit largement, dans un premier temps on recherche un endroit pour redescendre, et il y a peu de chances que ce soit pile sur le trait.
C'est pour ça entre autre (et l'anti-collision) qu'il faut garder un peu de marge au-dessus de la couche.
Après être redescendu en dessous, si on n'a pas un repère évident, là il faut faire un recoupement assez précis, et se diriger vers un repère inratable (centrale, grande ville, croisement d'axes routiers ou ferroviaires importants) pour recaler la nav.
On procédait ainsi avant que les VOR se généralisent sur les avions légers, et ça fonctionne parfaitement.
J'en déduis d'ailleurs que la VHF est un moyen de radionavigation, mais je suis sûr qu'on trouve des tas d'instructeurs qui prétendent le contraire.
Philippe Warter a écrit:Une VHF suffit pour le vol on top en France métropolitaine. Ailleurs je ne sais pas.
Il faut avoir repéré au préalable les stations VDF de part et d'autre de la route, et faire des recoupements.
Dans les faits un recoupement toutes les demi-heures suffit largement, dans un premier temps on recherche un endroit pour redescendre, et il y a peu de chances que ce soit pile sur le trait.
C'est pour ça entre autre (et l'anti-collision) qu'il faut garder un peu de marge au-dessus de la couche.
Après être redescendu en dessous, si on n'a pas un repère évident, là il faut faire un recoupement assez précis, et se diriger vers un repère inratable (centrale, grande ville, croisement d'axes routiers ou ferroviaires importants) pour recaler la nav.
On procédait ainsi avant que les VOR se généralisent sur les avions légers, et ça fonctionne parfaitement.
J'en déduis d'ailleurs que la VHF est un moyen de radionavigation, mais je suis sûr qu'on trouve des tas d'instructeurs qui prétendent le contraire.
Une simple demande de QDM à l'ATC. On a tendance à oublier les choses simples.rallye a écrit:....... Quel instrument emploies tu pour effectuer les recoupements ?
Tontonlyco a écrit:Mais non puisqu'on est au dessus de la couche le sextant suffit
Ben voyons, possibilité purement théorique, et encore faudrait-il deux ou trois stations bien placées a portée radio et équipées de gonio, Qui plus est en survol maritime !Leon Robin a écrit:Une simple demande de QDM à l'ATC. On a tendance à oublier les choses simples.rallye a écrit:....... Quel instrument emploies tu pour effectuer les recoupements ?
Philippe Warter a écrit:J'ai bien précisé France métropolitaine, donc pas de survol maritime.
Par contre je ne vois pas trop la différence entre homing et QDM. La réponse est toujours la même : un QDM!
Et si on fait la demande à deux stations différentes, une à droite et une à gauche de la route, on a un recoupement.
On procède de la même façon avec un VOR d'ailleurs, une balise à gauche, une à droite, et hop, on a le recoupement.
Tout ceci bien entendu avant que les GPS à 60 € se généralisent.
J'ai beaucoup volé en Jodel, D112, D113, D92, et maintenant D18. Tous munis exclusivement d'une VHF.
Et je ne compte plus les navs ainsi effectuées. Ca fonctionne (fonctionnait plutôt) très bien.
Maintenant que j'ai un TomTom (depuis une dizaine d'années je pense), je m'en passe. Mais je n'hésiterais pas à réutiliser cette méthode si le GPS se mettait en carafe.
Si c'était interdit, on supprimerait les VDF tout simplement. Maintenant, les stations gonio vont s'arrêter d'elles-mêmes, comme les VOR, ILS et autre NDB.
Tout GPS! Espérons que le grand Strump soit moins fou qu'il n'en a l'air.
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