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René-Pierre Teindas a écrit:Aurel nous apporte son témoignage avec un récit, comme déjà dit, agréable à lire.
Attendons la suite et évitons l'affrontement contradictoire systématique, comme souvent le cas.
Après il sera temps de comparer.
Lourd tout ça!
Aurel59 a écrit:C'est bien dommage alors... mais qu'on le veuille ou non même les avions en papier volent ! Quoiqu'il en soit laissons ce topic dédié à ceux qui désirent en apprendre plus sur l'IR privé s'il vous plait
Philippe Warter a écrit:Rester dans les limites d'un avion monomoteur en IFR, ça ne veut pas dire grand chose. Enfin si, ça veut dire rester en VMC et en vue du sol.
Parce qu'une panne moteur dans la couche, il y en a sans doute qui s'en sont sortis. Mais dans des conditions de plafond, de visi sous le plafond, et d'environnement telles que le vol aurait tout autant été faisable en VFR.
Vanzen a écrit:L'IR privé demande une pratique continue pour rester confiant. C'est pas évident. Je ne fais que de l'IFR de beau temps. Sinon, j'ai la chance d'avoir un ami instructeur avec lequel je m'entraîne sur des météos plus limites. Pour moi l'intérêt de l'IFR reside dans la séparation avec les autres trafics dans l'espace encombré autor de Paris, et sur l'énorme temps de gagné dans la préparation des vols vers les destinations connues ( la côte ouest ). Au bout d'un moment , on connaît les cartes d'approches par cœur, et même en étant toujours sérieux sur la prépa pre vol, on peut plus rapidement "sauter" dans son avion et se laisser guider par le contrôle, en opposition avec le problème des zones en vfr.
PiloteEnBelgique a écrit:l'IFR en avion monomoteur, surtout sans dégivrage et sans radar, n'apporte qu'un confort pour des vols qui auraient été faisables en VFR
Romain a écrit:Vanzen a écrit:L'IR privé demande une pratique continue pour rester confiant. C'est pas évident. Je ne fais que de l'IFR de beau temps. Sinon, j'ai la chance d'avoir un ami instructeur avec lequel je m'entraîne sur des météos plus limites. Pour moi l'intérêt de l'IFR reside dans la séparation avec les autres trafics dans l'espace encombré autor de Paris, et sur l'énorme temps de gagné dans la préparation des vols vers les destinations connues ( la côte ouest ). Au bout d'un moment , on connaît les cartes d'approches par cœur, et même en étant toujours sérieux sur la prépa pre vol, on peut plus rapidement "sauter" dans son avion et se laisser guider par le contrôle, en opposition avec le problème des zones en vfr.
Je ne sais pas qui t'a formé mais si il y a bien une chose à ne pas faire en IFR c'est de connaître les cartes d'approche par cœur...
Romain
foxalpha a écrit:OVC 030, c'est souvent par chez nous. VFR tu annules,
Chacun ses limites, laissez-nous aller chercher les nôtres.
foxalpha a écrit:PiloteEnBelgique a écrit:l'IFR en avion monomoteur, surtout sans dégivrage et sans radar, n'apporte qu'un confort pour des vols qui auraient été faisables en VFR
Archi faux. J'annule un vol par an en IFR, contre un par mois quand j'étais VFR ....
OVC 030, c'est souvent par chez nous. VFR tu annules, IFR, tu décolles.
Les EMB CB, c'est pas tous les jours. Le brouillard non plus.
Le givrage, c'est gérable, même en hiver. Rarement sous 4/5000 pieds, c'est souvent l'altitude minimale de sécurité.
Et pour avoir volé très souvent en températures négatives, ce n'est pas parce que tu rentres dans un nuage et qu'il fait -4° que tu givres systématiquement.
Je vole en IFR mono moteur non dégivré. et j'ai déjà fait 2 fois le tour de l'Europe en 2 ans. Je vole infiniment plus qu'en VFR.
C'est sur qu'au pays du principe de précaution, hors du gros bi-turbine pressurisé, dégivré, point de salut ....
Chacun ses limites, laissez-nous aller chercher les nôtres.
Jodellissimo a écrit:Comme bien des IFR, j'ai fait mes gammes sur du "petit avion" en IFR. C'est un challenge autrement plus complexe que de faire la même chose sur turbine etc...
Mais à l'époque, on se tapait 60 heures de vol pour accéder à une qualif IFR sur bi léger...... et pratiquement 40 en simu. Ensuite, on se retapait du tricot à St YAN pour le PP1. C'était l'époque révolue du bon vieux N262.
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